Trois.

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La vie continuer son court et on était maintenant au mois d'octobre donc (début octobre pour être plus précise) ça allait être bientôt les vacances et qui dit vacances dit examen avant les vacances.

Les deux dernières semaines donc avant les vacances je ne sortais pas, quand je rentrais des cours chaque soirs je faisait des fiches de révision et les week end je révisais comme une acharnée.

J'en pouvais plus ma tête allait exploser là mais j'étais obliger car il fallait que je fasse un sans faute.

Un jour de samedi Cheïmae travailler donc j'ai dû déposer une grande assiette de couscous au fameux mec à la queue de cheval.

« Nan tata nan pourquoi tu me fais ça » voulais-je lui dire mais je me suis retenue.

- Kheltie je sais pas où ils habitent moi.

Kheltie Wassila- C'est dans ce bâtiment là (en me montrant de la fenêtre le bâtiment juste à notre droite) au 4ème étage le Nom c'est Andrieu.

- C'est des arabes nan ?

Kheltie Wassila- Oui pourquoi ?

- Le nom de famille fais français.

Kheltie Wassila- Ah mais leur père est français fin corse et leur mère biologique algérienne comme leur belle-mère aussi.

- D'accord mais tata moi je voulais continuer de réviser hein.

Je faisait tout pour pas y aller j'avais honte moi j'allais avoir à faire à deux hommes nan nan en plus c'est pas mon quartier je viens pas d'ici et je l'ai connais pas bon appart Nabil vu que je le croise souvent maintenant comme je vous ai déjà dit.

Kheltie Wassila- Nan tu y va ! Bessif 3lik tu y va ! (De force tu y va)

- Mais khaltie je..

Kheltie Wassila- NON ! En plus ça va te changer d'air et 10 minutes de pause ça va pas te tuer hein.

- Je te déteste tata.

Kheltie Wassila- Aller va.

- Méchante.

Kheltie Wassila- Tu sais tu me fais plus rire qu'autre chose quand tu fais la moue hein.

- Pffff.

Elle a rigoler et je suis aller en direction de leur bâtiment pour leur donner cette grande assiette garni d'un bon couscous Oranais fait pas ma tante.

Pour information je portais une jelaba (Robe arabe) noir avec un gilet en laine beige. Une dégaine de campagnarde mais franchement je m'en foutais c'était à coter quoi et surtout je ne voulais pas perdre de temps dans mes révisions.

Je suis donc monter au 4ème étage sans difficulté vu que la porte d'en bas était ouverte.

J'ai sonner à la porte que m'avais indiquer ma tante et après avoir sonner j'ai commencer à stresser légèrement je sais pas si j'allais trouver son frère ou lui au pied la porte.

Sous mon étonnement c'est son frère qui m'a ouvert la porte.

- Euh Selem Ahleycoum tiens c'est de la part de ma tante Wassila la mère de Kémil.

L'être humain a failli me dégoûter puis je l'ai rencontrée Où les histoires vivent. Découvrez maintenant