elle

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mais tu comprends,

c'est l'instinct de vie pour un homme (et la femme se plie à ses désirs pour la survie).

on voyait presque tes fesses avec la courtesse de ton vulgaire jupon. tes jambes épilées étaient si fines et désirantes et ta poitrine rebondissait timidement sous ton décolleté. (t'avais qu'à cacher ton corps fatal, femme grotesque.)

c'est incontrôlables, ces tensions, tu sais? les hommes, c'est pas comme les femmes, ils sont brillants mais fous au toucher d'une peau plus délicate.

dans le fond, tu le cherchais. t'es dégueulasse de lui remettre la faute.

pham  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant