Les rayons solaires te brûlent le teint
Fixer sur les méandres de ton visage en cratère
Quelques larmes tombent, pour rejoindre ton hiver
Mais,
Les rayons solaires te brûlent le teint
Et quand arrive la nuit, se glace ton coeur
Espérant qu'un jour s'en aille ta peur
Mais,
Les rayons solaires te brûlent le teint
Je te laisse auprès de ton étoile
Car, mes souvenirs noirs détalent
Tu seras là, à braver le vide éternel
C'est une réalité presque, sempiternel
Tes mots, se couchent, dans mes pensées
Mes maux m'étouffent, dans mes pensées
Je m'éloigne si vite de toi
Mais tu ne perds pas la foi
Car peu importe où je serai
Toi, si géologiquement morte tu es
Tu garderas sur ton visage
Les traces, de cet ancien rivage
Celui où, s'agrégèrent les poussières
Celui où, les atomes se percutèrent
Ne fait pas la tête à Hélios
Car la tristesse est une chose
Où son amour unique, un jour et pour toujours
S'offre à toi pudique, un jour et pour toujours