I.Mercure

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Les rayons solaires te brûlent le teint 

Fixer sur les méandres de ton visage en cratère

Quelques larmes tombent, pour rejoindre ton hiver 

Mais, 

Les rayons solaires te brûlent le teint 

Et quand arrive la nuit, se glace ton coeur 

Espérant qu'un jour s'en aille ta peur 

Mais, 

Les rayons solaires te brûlent le teint

Je te laisse auprès de ton étoile

Car, mes souvenirs noirs détalent

Tu seras là, à braver le vide éternel

C'est une réalité presque, sempiternel 

Tes mots, se couchent, dans mes pensées 

Mes maux m'étouffent, dans mes pensées 

Je m'éloigne si vite de toi

Mais tu ne perds pas la foi 

Car peu importe où je serai 

Toi, si géologiquement morte tu es

Tu garderas sur ton visage

Les traces, de cet ancien rivage 

Celui où, s'agrégèrent les poussières 

Celui où, les atomes se percutèrent 

Ne fait pas la tête à Hélios 

Car la tristesse est une chose 

Où son amour unique, un jour et pour toujours 

S'offre à toi pudique, un jour et pour toujours 

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