Wizards (En Réecriture)

Une Soirée Qui Dépasse Mes Pensées...

Chaque binôme partait de son côté. Angelo me prit par la main et me tira à travers les différentes rues. Il courait vite, très vite. J'avais l'impression de voler. Je ne savais pas où nous étions. Mais je lui faisait confience, car il ne m'avais jamais trahie jusque là. Il s'est arrêté devant un petit immeuble. A ce que je vois il à l'habitude de venir ici. Il fit le code et m'invita à entrer. Il y avait un ascenseur miniscule et j'étais légèrement claustrophobe, et ce petit ascenseur me donnais la chaire de poule.

- Je... Je ne peux pas entrer... Lui dis-je.
-Je sais bébé, mais ne crains rien. Je Te prendrais dans mes bras. Et tu ne regarderais pas. Me dit-il d'une voix rassurante qui me mettait totalement en confiance.

J'entrai alors dans l'ascenseur, me blottissant dans ses bras. Ma tête était contre son torse. Je n'avais que faire se compter les étages qui nous séparaient de notre destination, tant que j'étais avec lui..
Quatrième étage. Tout en me tenant la main pour me guider, il m'entraîna à l'appartement tout au fond du palier. La lumière était faible, il faisait sombre. Sans hésiter, Angelo frappa à la porte. La main qui tenait la miens tremblait légèrement, alors avec mon autre main je la lui caressait.

La porte s'ouvrit brusquement, et une vieille femme toute ridée, hideuse à en faire peur (malgré qu'elle n'ai pas de maquillage pour Halloween) faisait peur à voir. Elle fît la bise à Angelo et me dévisagea derrière ses lunettes.

-Bonsoir jeune fille. Fini-t-elle enfin par me dire. Je suppose que tu es Kenzie. Me dit-elle de sa voix grinçante. Comment... Comment savait-elle mon nom?
-Bonjour... Dis-je en tentant de gardée le sang froid. Et vous êtes ? Je posai ma question sur un ton légèrement insolent.
-Kenzie, voici Carmen. C'est ma tante, en quelque sortes. Dit Angelo en me regardant. Il paraissait moins sur de lui pour une fois, mais ça me faisait bizarre de le voir impressionné par quelqu'un.

Pendant qu'il me présentait la vieille femme, elle entra chez elle sans fermer la porte et parti nous chercher un sac pleins de friandise. Elle le tendit à Angelo.

-Kenzie, pourrais-tu me donner tes mains? Je regardai Angelo car j'avais peur, et lui aussi ne paraissait pas rassuré. Il me fit signe, alors je t'en dit mes mains vers Carmen. Je me retournais pour voir Angelo, j'avais besoin de son regard. Mais il avait tourné la tête. Que voulait-elle faire?

Elle ne tarda pas à me répondre. Une douleur pas possible engourdissait mes mains. L'une était brûlante comme si elle était dans le feu, pendant que l'autre était saisie par un froid intense. Je souffrai en silence. Jusqu'au moment où la douleur s'intensifia. Là, je ne pouvais plus me retenir.

-Stop! Lâchez-moi! Vous me faîtes mal! Je ne sens plus mes mains! Criais-je les larmes aux yeux. Elle me fixa d'un air hautain.
-Tu ne connais rien de la douleur petite. Me dit-elle. Je me retournai vers Angelo. Je le regardai. Je lui montrai la souffrance que m'affligeait cette vielle folle.
-C'est bon!Lâche la! T'en à assez fais! Lui ordonna-t-il. La folle s'exécuta, elle me regarda une dernière fois.
-Ramènes-là quand elle sera prête. Dit-elle en claquant la porte de son appartement.