57: En morceaux

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PDV Lexa: 

J'avais discuté un bon moment avec des recruteurs pour la NBA, et il m'avait fait plusieurs offres intéressantes , et je devais maintenant y réfléchir et leur faire savoir ce que je comptais faire.D'un côté j'avais envie d'accepter immédiatement, je savais que O' avait parler de son recrutement à Lincoln et qu'il allait la suivre aux Etats-Unis. De mon côté je sais que je dois en parler à Clarke, mais j'ai peur de ce qu'il se passerait si elle refusait de me suivre, je sais qu'elle ne voudrait pas d'une relation à distance et je me sentais mal d'avoir à lui imposer ça, je veux dire que ce que je lui demande c'est de tout abandonner ici pour mon rêve à moi ... c'est plutôt égoïste de ma part dans un sens j'ai l'impression de lui demander d'abandonner sa carrière pour la mienne, et pourtant si elle me demande de rester jouer en Australie, c'est moi qui sacrifierai ma carrière pour elle... je ne sais pas quoi faire mais on doit avoir une discussion, et au vue de son regard il n'y a pas que de ça qu'elle veut parler.

Après avoir finit avec le recruteur nous rentrions fêter la victoire à la maison alors que nos amis s'installer à l'extérieur, Clarke me retint par le bras dans la cuisine .

Clarke: Lexa ... on peut parler ? 

Je m'en doutais à vrai dire. 

Lexa: Je sais que tu sais pour les recruteurs mais ils me laissent du temps pour y réfléchir on peu en parler demain . 

Elle me tira le bras et me fit me retourner vers elle, sans savoir pourquoi je détournais le regard, et baisser la tête, comme une enfant prise en fautes . 

Clarke: C'est pas de ça que je veux parler Lexa, moi aussi j'ai des trucs à te demander mais on a encore le temps pour ça ,mais je veux savoir pour de vrai ce qui ne va pas , comment tu vas réellement. 

Je me tendais et elle le sentie immédiatement et resserra ma main. Je pinçais mes lèvres, et me forçais à ne pas craquer comme j'en avais l'habitude avec Clarke, elle en avait déjà beaucoup fait pour moi, et je savais que même si elle avançait bien après la mort de son père, je ne voulais pas lui imposer en plus tout ça . 

Lexa: Je vais bien Clarke .

Mais elle n'abandonna pas.

Clarke: Lexa dit moi ce que tu ressens . 

Lexa: Rien, il n'y a rien dire la dessus . 

Clarke : Je vais te le redire encore une fois, mais tu n'as pas à avoir peur d'avoir des émotions .

Je m'éloigner un peu d'elle, en la faisant me lâcher .

Lexa: C'est des conneries, bien sûre que je le suis !

Clarke : Pourquoi ? On en a tous ! 

Lexa: Pas comme ça, tout le monde veut que je parle, que les ressentes mais personne ne comprend que si je me mets à pleurer je pourrai sûrement jamais m'arrêter .

Je la regardais, et je retenais mes larmes, j'en avais marre, je savais que tout ce que je gardais c'était beaucoup trop pour moi, au début je m'étais dit, que maintenant que je comprenais un peu mieux ce que je ressentais je pourrai gérer, alors j'ai pris sur moi, et puis au fur et à mesure tout s'est accumulé, et tout le monde à commencer à avoir des problèmes, et je n'ai pas voulu les inquiéter plus que nécessaire et je me suis enfermée.

Clarke: Lexa... c'est bon tu peux me parler je suis là ... 

Elle s'approcha de moi, mais à chaque pas qu'elle faisait vers moi mon corps reculait automatiquement et faisait un pas en arrière, j'avais peur, peur de parler, peur de craquer, peur que ce soit ma faute ... j'avais beau dire que je n'en voulais pas Clarke pour ce qu'elle m'avait, j'avais beau dire la vérité, mais cette phrase tournait sans cesse dans ma tête .

L'amour est une faiblesse ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant