Chapitre 1

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Coucou👋 je tiens a prévenir que ce chapitre pourra peut-être paraître un peu sanglant pour certain d'entre vous donc voilà voilà

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Je suis en actuellement en cours d'histoire. Ça va faire deux mois que mon ventre prendre doucement forme, je pense que se sera bientôt le moment. Peut-être ce week-end avec un peu de chance. C'est ce que je me dis quand je commence à tousser. Au début c'est une simple petite toux mais ça devient de plus en plus violent et au même moment une crampe me prend dans le bas du ventre. Je comprends malheureusement que c'est le moment.

Mon voisin, Alexander, qui avait pris l'habitude de s'asseoir à côté de moi dans certain cours puisque j'étais souvent seule, ce qui étais totalement mon choix. Vous savez c'est ce genre de mec populaire au sein de la classe, que tout le monde aime et tout. Ce même garçon me regardait avec inquiétude en me demandant si j'allais bien. Je toussai tellement que je peinais à respirer. Je remarquais que toute la classe s'était arrêter pour me regarder, y compris le professeur. Je voulais me lever pour sortir mais je me suis mise à cracher du sang.

Mon voisin semblait vraiment s'inquiéter lorsqu'il a vu le sang sur ma main. Instinctivement je savais que quelque chose n'allait pas avec mon bébé. Je me suis levée et j'ai couru jusqu'au toilette de l'étage. J'ai continuée à cracher du sang pendant encore une ou deux minutes avant que ça ne se calme. C'est à ce moment-là que sont arrivés mon professeur d'histoire, monsieur Beron et Alexander. J'ai soupiré en les voyant, puis je suis allée m'asseoir contre le mur près des fenêtres pour avoir de la lumière. Il fallait absolument qu'ils sortent d'ici si je voulais accoucher. Je tente ma chance d'abord du côté du prof.

          -Monsieur vous devriez retourner en classe, je vais bien, c'est juste la fatigue qui empire ma toux. Mon médecin m'a déjà donné ce qu'il faut contre ça. Vous devez continuer le cours monsieur je ne veux pas que l'on soit encore plus en retard.

          -Je le sais bien Elizabeth mais je ne vais pas laisser une élève seule dans cette situation.

Sachant que je n'aurai pas le dernier mot avec ce prof j'abandonne et lui propose quelque chose, qui ne me plais pas plus.

          -Si ça ne dérange pas Alexander, il pourrait rester ici ? dis-je en espérant qu'il refuse.

Le professeur interroge alors Alexander qui, évidemment, accepte pour mon plus grand déplaisir.

          -Très bien alors, ça me rassura.

Sur ces mots il retourne en classe alors que j'ai encore le visage figée dans une expression de surprise. J'entends un ricanement et me souviens de sa présence. Je vais pour lui faire une remarque lorsqu'une autre crampe me prend me rappelant pourquoi je suis là. Je tiens mon ventre et souffle doucement. Je me dis qu'il va me falloir certaine chose, donc je lui dis, les dents toujours serrées sous la douleur.

          -Tu pourrais aller chercher des trucs pour moi en classe ? il hoche la tête en réponse. Dans la poche gauche de mon manteau, prend ma pince à cheveux et la petite pochette noire, puis dans mon sac prend le sac plastique avec les affaires dedans, merci.

Il part chercher ça et pendant ce temps moi j'enlève mon pull et mon débardeur, je déboutonne mon jean et l'enlevé lui aussi pour ne pas le salir. Je me retrouve donc en sous vêtement. Alexander rentre et s'arrête en me voyant, mais avant qu'il n'est pu dire quoique ce soit je lui demande mes affaires. Je mets mon pull d'aujourd'hui de côté et utilise le pull du sac et mon débardeur pour faire une sorte de petit nid. Je m'attache ensuite les cheveux bien haut, respire un grand coup et prend ma pochette. Lorsque je l'ouvre il pousse une exclamation de surprise, voyant dans des aiguilles, du fil mais surtout des petits couteaux, bien aiguisés. Sentant les crampes revenir, je me réinstalle confortablement et souffle. J'enlève ma ceinture, la plie en deux et mords dedans. Je ne m'occupe d'Alexander et me concentre entièrement sur moi. Je prends le premier couteau, respire profondément et tâte l'endroit à couper. Les contractions étant toujours plus vivent, je me décide à couper. Je pose le couteau sur une partie précise de mon bas-ventre.

Elizabeth et la dernière descendante.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant