Je crois t'avoir surestimé.
Je voyais de ton être une lueur éternelle,
Là où tu n'es en réalité qu'une étincelle.
Ce soir là, sur ton visage de porcelaine,
De douloureuses perles salées sont apparues,
Suivies de près sur tes avants-bras nus,
De trop nombreuses marques de haine.
Caché dans mon arbre, je crevais avec toi.
Ce soir est passé, ta souffrance avec,
Pourtant à présent, je n'arrive plus à m'envoler en paix.
Comment avoir l'esprit tranquille, quand on sait
Que tu peux te briser comme du bois sec.
Voilà longtemps que je n'ai pas ressenti pareille émotion
Ce poids constant et douloureux,
Trop lourd à porter par temps houleux,
L'appréhension.
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L'Âme Lumière |Terminé|
PoetryNoé est un homme-oiseau qui depuis des siècles voyagent à travers les cieux en contemplant la folie humaine et ses déboires. Convaincu que l'Homme est mauvais, il va néanmoins tomber sur Anaël et sa bonté digne d'un ange. Va alors tomber sur notre a...