Chapitre treize

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Ça fait au moins vingt minutes que je suis assise par terre ma paume gauche dans la droite, le sang qui coulais a cessé depuis peu mais la douleur est toujours là, mes larmes aussi on cessé.

Je suis fatiguée de tout ça, je suis vraiment a bout j'en peux plus.

_levez vous madame, il est temps de vous préparer.

Je pose un instant les yeux sur Aziza, elle est venu aussi après ma crise de colère me disant que la fête commence dans une heure, si seulement elle savais que j'en ai rien a ciré de cette fête.

Elle marche vers moi et s'abaisse je lève les yeux vers elle et la surpris en regardant ma blessure.

_Allons madame..... Il faut soigné ça levez vous.

Elle enroule sa main a mon bras se lève et m'emporte avec elle, je la suivie sans bronché dans la salle de bain ou elle me fit m'assoir au bord de la baignoire, je ne relève toujours pas mes yeux qui sont fixé sur un point imaginaire sur le carrelage propre et brillant que je pourrais me voir dedans.

Un bruit de métal se fit entendre a côté de moi, je lève les yeux vers Aziza, elle viens de poser un boite a gants a côté de moi et sortie les aide soignant et commence a soigné ma blessure, je grimace de temps a temps qu'elle met l'alcool pour désinfecter la plaie avant de me bandé la main et de rangé la boite dans un placard a l'autre côté de la salle de bain.

Elle reviens ensuite vers moi et m'aide a me déshabiller, je me laisse faire comme une poupée de porcelaine, sans lui adressé la parole en même temps c'est pas comme si elle était bavarde aussi, de sont côté sa l'arrange bien se silence quand a moi, j'ai juste pas envie de parlé maintenant.

Nous avons passé deux heures a me préparer, je porte une longue robe blanche en dentelle avec décolleté et les manche longue, cette fois ci je porte pas de perruque, mais cheveux mi-long m'arrive a la nuque attaché en un queue de cheval haute, et cette fois je suis légèrement maquillé avec mes talons.

Je me suis habiller depuis, Aziza a quitté la chambre après avoir mit de l'ordre ou j'ai semé la pagaille, c'est a dire la coiffeuse, elle a installé des nouveau produit puis a prit la direction de la sortie, je ne sais pas quoi faire alors je me suis mise a faire les cent pas dans la chambre a réfléchir a tout ce qui m'est arrivé, et comment j'en suis arriver là, je me demande comment tout ça a puis me tombé sur la tête.

_c'est l'heure bella!

Je lève les yeux vers Kamal qui viens de faire sont apparition dans la chambre, chambouler par mes question sans réponse, je n'ai pas sentis sa présence jusqu'à ce qu'il m'adresse la parole.

Sa main est tendue vers moi attendant que je glisse la mienne, mais je ne fit rien, je me suis seulement contenté de passé devant lui sachant très bien qu'il veux qu'on descend dans le hall.

Je l'entendu juré avant de me suivre, avant de descendre les escaliers, dans le couloir j'entend le brouhaha des gent et la musique classique, Avant que je n'atteint les escaliers, Kamal c'est dépêché d'enrouler sont bras a ma taille, je lève les yeux au ciel et soupire de fatigue.

Comme si ils n'attendent que ça les quelque inviter lèvent tous leur yeux vers nous, parmi eux j'ai pu voir Sarah toujours aussi élégante accompagner de sont mari et leur fils, la gouvernante qui discute avec d'autre, et enfin l'homme de l'autre jour dans la salle a mangé qui n'arrêtait pas de me regardé sans jamais dire un mot avec une femme un peut plus âgé que moi, teint légèrement basané cheveux noir cour, ou peut-être que c'est une perruque je sais pas, et comme par hasard sont visage mais familier, plus je la regarde plus j'ai la sensation de la connaître, où?j'en ai aucune putain d'idée.

Obsession obscur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant