Chapitre sept

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Toujours sous le choque de ce que je vois sous mes yeux, je reste paralysé, bien que ça n'a rien d'étonnant, ce sont des jumeaux parmi tant d'autres. Mais j'y arrive toujours pas a me détendre, en même temps comment pourrais-je le faire avec cette vie qu'ils  m'infligent, en temps normal j'ai toujours cru que c'était des histoires j'ai toujours ris de ses genres d'histoires, mais maintenant l'envie de rire ne me viens absolument pas, j'ai seulement envie de disparaître et me retrouvé chez moi avec mes parents.

Je ne sais même pas comment ils vont ou s'ils me cherchent encore, si seulement j'avais un moyen de les contacter pour qu'ils viennent me chercher.

Toujours autour de la table ils discutent, les femmes, elles sont deux la femme de Jamal et de son cousin qui est assis aussi et discute avec un autre gars qui n'arrêtait pas de me regardé depuis que ça devient gênant, de leur côté qui parfois me questionne, me taquine ou me complimente sans même se souciée de mon sort, je les fait même pas pitié, et voilà une chose que je viens d'apprendre d'eux, ils ne se soucis guère du chagrin des autres ils ne font qu'a leur tête.

Elles ont le droit de me questionné sur ma vie privé comme si nous étions des amis depuis longtemps, je répond sans m'attardé sur les détail et parfois je fait mine de ne pas entendre, finalement elles m'on laissé tomber. Et dire que moi j'ai pas le droit de posé des questions et que si je voulais des réponses je dois m'adresser au maitre des lieux.

Jamal et son frère discutent aussi de leur côté sûrement de business puisqu'il parle d'argent.

C'est comme si je n'existait pas!

Nous avons été les premiers a partir quand nous avons fini le dîné suivie des autres nous montons les marches tout les deux en silence quand une voix ce fit entendre derrière nous dans le couloir. 

_Kamal!

L'homme avec qui je suis tourne la tête et s'arrête je fit de même et vu la gouvernante, habiller d'une robe courte blanche lui arrivant au cuisse voir au hanche puisque je peux voir sa culotte rose juste en dessous, avec des talons haut que je pensais même pas qu'on pouvais marché avec avant ce soir, hum moi qui croyais que les miennes étaient haut.

Elle avance toute sourire en faisant bougé ses reins et ses seins. Je ne pu m'empêcher de levé les yeux au ciel.

_je peux m'entretenir avec toi un moment, dit-elle en arrivant a notre hauteur sans manquer de me jete un regard hautaine.

_est-ce vraiment nessecaire? Réplique ce dernier en faisant pas attention a ses caprice de séduction.

Elle pose ses mains sur sont costume comme si elle voulais lui enlevé de la poussière sur ses vêtements en s'attardent sur sont torse et fini par levé les yeux vers les siennes et se mord la lèvre.

_oui! Et j'aimerais qu'on le face en privé.

_j'ai pas trop le temps, et je suis fatiguée, sa peux attendre. Clôture t-il en se tournant.

_tu préfère passé la nuit avec une gamine plutôt que moi!

Et bien elle n'a pas l'air contente la gouvernante, et tout s'explique maintenant, la froideur et le mépris qu'elle a envers moi, et la façon dont elle viens de parlé c'est comme si ça la dégoûtait.

Enfaite oui ça me dégoute aussi.

Il se retourne pas et me tire avec lui sans lancé un regard derrière lui, la femme lâche un cri de frustration et de colère sûrement et se retourne car j'entends ses talons claquer sévèrement sur le sol.

A peine la porte refermé derrière nous il me plaque brutalement dessus que je grimace et sans que je ne comprenne quoi que ce soit ses lèvres s'empare des miennes, ses grandes mains puissante de chaque côté de mon visage.le baiser se fait violente et intransigeante, c'est comme si il voulais me punir de quelque chose, sa langue força l'entrée de ma bouche tandis que je passais mes bras sur sont torse pour le repousser, il s'y refuse,nos langues s'emmêlerent et démêlerent dans une danse torride et sauvage  

Par manque de souffle je le pince fortement au cou avec mes doigts, il se détache aussitôt de moi et masse l'endroit de ma marque de colère.

Obsession obscur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant