Angel

Chapitre 11

J'entends du bruit autour de moi. Qu'est ce qu'il vient de ce passé ? J'ouvre les yeux et vois les autres Archanges recteurs qui me regarde.
Mina pose sa main sur mon front puis me demande :

- Est-ce que ça vas ?

- Euh oui je crois merci. Qu'est ce qu'il c'est passé ?

- Je pense que la découverte de la roche du Tartare a été un trop gros choc pour toi parce que tu t'est évanoui. C'est Taehyung et Chae qui t'on ramener dans la salle du conseil.

- Je vois.

Mina est très calme pour la situation alors que je vois les autres filles qui sont pour la plupart paniqué. Mina m'aide à me relever puis me fait signe d'aller m'asseoir à ma place, entre Chae et Nayeon, puis Jihyo nous explique la situation.

- Je pense que vous avez toutes prises connaissance du problème n'est-ce pas ?

Nous hochons toutes la tête

- Et comme aucune d'entre vous ne m'a signalé quoi que ce soit, j'en déduit qu'il n'y a pas eu de problème.

Nous affirmons à nouveau

- Bon, le message est évident, les Enfers nous déclare la guerre. Donc Jeongyeon, j'exige que des patrouilles surveilles en permanence les frontières de l'Eden.

- Mais nous n'avons pas assez de Puissance en état de patrouiller ou même de ce battre. S'inquiète Jeongyeon.

- Et bien ce seront des anges d'autres cœurs qui vous aideront. Donc les filles, dites à vos meilleurs guerriers qu'on a besoin d'eux. Et si nous continuons d'être menacés, nous devront en parler aux Fondateur pour qu'ils nous disent quoi faire.

Les Fondateurs. Si on va les voir, ça veut dire que je reverrais mon père. Ça fait si longtemps que je ne l'ai pas vu. Je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire à cette pensée mais je reprends vite mon sérieux quand je me rappelle que je ne le verrais que si nous sommes en danger. Nous approuvons la décision de Jihyo puis elle nous dit de sortir, ce que nous faisons. Je plane vers mon quartier, comme d'habitude, quand je sens... UNE MAIN DANS MON DOS !!!
Je me retourne vivement, prête à déguerpir en vitesse mais je reconnais vite la personne en face de moi. Et il est inutile de la fuir.