Chapitre 3

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Sa fais maintenant presque vingt minutes que je suis réveillée, je sais pas quel heure il est, ni ou je suis, ca a tout l'air d'un hôpital, mais lequel ?

Il n'y a pas d'hopital à l'orphelinat, puis pourquoi il y a toute mes affaires dans cette chambre ?

J'examine du mieux que je peux les alentours quand une infirmière entre dans la chambre.

Infirmière : Bonjour mademoiselle, vous allez mieux ?

Moi : Oui sa va merci, euh... Est-ce que je pourrais s'avoir ou se trouve Madame Groove ?

Infirmière : Celle qui vous a transférée ici c'est bien sa, elle est partit il y a un bon bout de temps.

Moi : Ah mais... et vous savez quand elle revient me chercher ?

Infirmière : Je ne pense pas qu'elle revienne vous cherchez.

Moi : Pourquoi vous dite sa ?

Infirmière : Vous n'avez pas l'air très au courant... Vous etez maintenant a Marseille sous la demande forcé de Mme Groove ce n'est pas pour rien je pense tout celà.

A cette entente je reste choquée, Marseille, mais pourquoi ? mon orphelinat est a Nice, toute ma vie est a Nice pourquoi me mettre a Marseille ?

Moi : Pourquoi Marseille ? Ques-ce que je vais faire ici ? Mme Groove appelez la moi maintenant !

Infirmiere : Mademoiselle je vous pris de vous calmer et m'ecouter !

Moi : Putain c'est pas possible, c'est un rêve la...

Infirmiere : D'apres les faits qui m'ont été rapporté, hier vous vous etez battu avec vos voisines de chambre, vous avez été gravement blessé, donc on vous a transporter d'urgence a l'hopital le plus proche de l'orphelina puis une fois les traitement les plus urgent fini, Mme Groove en personne a demandée à ce que vous soyez transporté à Marseille, bien évidement dans un hopital car après tous vous etez pas encore en état de sortir, et a votre sortit vous serez libre !

Elle est toute souriante comme si ce qu'elle avait dis allais me faire sourire de meme, mais je comprend rien, complètement rien.

Pourquoi Marseille ? j'ai rien ici, dans ma ville d'enfance je connaissais personnes en personnes mais je me sentais chez moi, je connaisser quelques quartiers fréquentables et paisible fin bref plein de petites choses qui fesais tout.

Moi : Pourquoi je suis ici, à Marseille ?

Elle : Parceque votre ancienne directrice nous l'a demandée Farah.

Moi : MAIS POURQUOI ? POURQUOI MARSEILLE ET PAS AUTRE DITEZ MOI ! Ditez moi s'il vous plait...

Je commençais a perdre patience, elle me rend folle, elle a l'air toute hnina miskina, mais elle me rendais folle, tout me rendais folle là.

Elle : Mme Groove a trouvée une feuille ou vous aviez écrit "Plus tard je vivrais a Marseille pour voir Khalti Sofia" puis elle s'est dit que sa serais bien que vous la revoyez.

La j'tombe sur le fesses, je sais plus quoi penser, mais où elle a pu trouver cette feuille, je l'avais écrite lorsque j'avais 11 ans à peine !

Puis Khalti Sofia est peut être ... Non j'peux pas dire sa starf'Allah.

Moi : Merci, mais qui vous dit qu'elle est encore ici ... À Marseille ?

Elle ne répond pas mais me souris à la place et pars, la une poussée de nerf me monte a l'esprit, c'est sa donc ? Il mon emmené ici sans meme être sur de se qu'ils fesaient, c'est pas possible je vis dans un cauchemar là.

•Point de vue de l'infirmière•

Je sort de la chambre de ma patiente Farah et me dirige vers l'accueil.

Moi : Laura passe moi le fix s'il te plait il faut que je passe un coup de fils à propos de Mlle Farah ******

Laura : Oui tien, d'ailleurs elle va mieux ?

Moi : Oui, va voir si tu veux, elle est un peu sur les nerfs mais faut la comprendre.

Elle acquise je lui fais signe que je passe le coup de fil et m'éloigne appeler la personne

•Retour Pdv de Farah•

Je regarde la télé sans trop écouter, sa parle de personne disparue et de vol à main armée dans une bijouterie, cool les actualités non ?

J'plonge dans mes pensées en ignorant totalement la télé, j'reflechis à cette lettre, a khalti Sofia si elle est toujours ici, où je vais aller a ma sortie, car c'est sur je vais pas rester la définitivement.

Tout ca qui trotte dans ma tetes, suivi d'autres questions sans réponses qui me tue.

J'continue de cogiter puis vien une autre infirmière toute souriante.

Quesqu'elles ont a toutes sourirent, wallah elles m'énervent, elles peuvent pas rester normal un peu, j'sais pas moi, être neutre.

Elle : Bonsoir Farah !

Moi : Bonsoir ?

Elle : Il est bientot 8h.

Moi : Ah ok.

Elle : Sa va mieux ?

Pourquoi elle essaye de gratter amitié avec moi serieux ? J'ai pas la tête a sa, j'ai pas envi de la vexer mais depuis que je me suis "battu" j'ai le démon contre tout le monde sans aucune raison valable.

Je me contente de quand meme lui répondre a contre coeur.

Moi : Oui.

Elle me sourit puis marche vers la sortit, mais avant elle se retourne.

Elle : Tu a faim ?

Moi : Non.

Elle me sourit tristement cette fois et part pour de bon, je me retrouve maintenant seul dans la chambre mais pas pour longtemps encore.

J'pensais finir ma soirée tranquillement, mais enfaite y'a trop de va et vien dans ma chambre c'est chaud, en plus cest pour wellou zehma petite analyse toute les minutes, eh vasy qu'ils me laissent un peu merde.

Une infirmiere viens de sortir, elle ma dit que c'etait la derniere analyse donc, la derniere "visite emmerdante" des infirmières et toubibs, merci Allah j'vais rester enfin tranquille.

J'commençais a fermer doucement les yeux quand j'entend la porte de la chambre s'ouvrir, la j'pete soudainement un cable, jamais ils vont me laisser en paix avec mon âme c'est sa ?

- OH ZEUBI LAISSEZ MOI NEHESS UN PEU NASHAVER DE LA CHAMBRE BANDES DE HYENNES !

Apres avoir gueuler tel une poissonnière dans tout l'hôpital, j'entend plus rien, pas meme un pas, ni meme un bruit de bouche, rien, j'me redresse puis essaye de rallumer ma lampe de nuit, j'lallume mais vois toujours rien.

Moi : C'est qui ?! J'ai plus la tête là, laissez moi dormir svp, carrément j'vous dis svp, pitié laissez moi j'suis terminé sayez.

Sa ne répond pas, toujours rien, au pire j'parle a un ventillateur, c'est mieux bientôt.

J'essaye de descendre du lit mais n'oubliez pas que j'ai encore mal, les putes elles m'ont liquidé sec !

Malgré ma douleur j'essaye de descendre pour aller rallumé la lumière qui est à deux pas, quand j'entend une voix masculine que je reconnais mais très faiblement.

... : Oh bouge pas wesh !

Moi : Vasy on va pas jouer a Kolamaya 1h dis t'es qui, et allume la lumiere gère.

... : Tu donne des ordres à qui ?

Je souffle, putain y joue a quoi ?

J'reconnais sa voix mais je me souviens trop vaguement de la personne qui la porte c'est frustrant putain.

Il se décide enfin d'allumer la lumière au bout d'un certain temps et la j'identifie directement la personne qui est debout en face de mon lit, c'est lui.

Farah - Déménager à la citéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant