PRÉFACE

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Un journal pas comme les autres : Le cri de la petite fille
Un jour, une personne m'a dit qu'Edmond Rostand a dit que "LE PANACHE C'EST LA PUDEUR DE L'HÉROÏSME, COMME UN SOURIRE PAR LEQUEL ON S'EXCUSE D'ÊTRE SUBLIME". Et que selon lui "L'ÉCRITURE EST LA PUDEUR DE CEUX QUI PENSENT AVOIR RAISON, COMME UN SOURIRE PAR LEQUEL ON S'EXCUSE D'ÊTRE DANS LE VRAI" Par l'expérience de la vie, on se rend compte que parfois nous sommes loin de la réalité, que ce qui peut être vrai aujourd'hui ne l'est pas forcément demain. Mais ce qu'il y a de bien c'est que la vie est un jeu dans lequel il faut soit savoir comment changer les règles, ou bien définir ses propres règles dans le but de ne pas subir. Si l'on n'est pas capable de faire cela, il faut juste l'accepter comme elle est. La vie est une femme, et comme toute femme elle a son lot de problèmes qu'elle nous fait subir. À nous de la supporter et de n'en tirer que le meilleur. Je ne sais pas si cela ressemble à une autobiographie mais je compte étaler ces sentiments ressentis afin de transmettre ma petite expérience de la vie et d'aider tous ceux qui s'y retrouvent ou du moins prévenir. En effet, on ne le dira pas assez souvent, un homme averti en vaut deux, mais parfois comme j'aime le dire, il faut que l'on se cogne parfois contre le mur pour comprendre. Mais la vérité, c'est qu'avant tout je dois le reconnaitre, je m'aide. Vous le comprendrez quand vous le lirez car ceci est l'œuvre non pas d'une vie, mais d'une partie de vie car j'ai encore beaucoup à apprendre de cette femme qui est la vie. Que la route est encore longue avant que l'on se sépare elle et moi. Pour finir, afin d'annoncer la couleur, j'aimerais rajouter que parfois, on ne se rend pas compte de l'importance, de l'impact qu'une personne peut avoir sur une autre. Je vous laisse découvrir ce que par pudeur, j'ai eu tant de mal à écrire, enfin à dévoiler aux yeux de tous.

Quand Parler Devient Superflus...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant