chapitre un ( partie 1 ) : la rencontre

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POINT DE VUE DE CASTIEL TORRES

Mes hommes de mains, mon père et moi, attendions nos collaborateurs qui étaient en retard : la mafia italienne allait nous rendre visite aujourd'hui pour que l'ont mettent certains choses au clairs sur notre prochaine attaque contre des rivaux qui...

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Mes hommes de mains, mon père et moi, attendions nos collaborateurs qui étaient en retard : la mafia italienne allait nous rendre visite aujourd'hui pour que l'ont mettent certains choses au clairs sur notre prochaine attaque contre des rivaux qui n'arrête pas de nous coller au basket, nous devons donc les éliminer et pour ça nous devons nous allier et évoquer certaines manœuvres à mettre en place.

« Bonjour mon ami, excusez-nous de notre retard mais nous avons eu un léger contre temps »me fis face Nino Fernandez, le dirigeant de cette organisation, un homme d'une cinquantaine d'années.

Accompagné de ses hommes de mains également, ils prirent places après que nous les avions salué.

« Quel était-il ? » demandait mon père en prenant place sur le fauteuil centrale.

Il s'apprêtait à lui répondre quand la porte s'ouvrit en trombe, nos hommes braquèrent leurs armes sur les deux individus qui s'hurlaient dessus.

Je me mis à détailler les personnes qui ont osé nous déranger, une petite brune aux yeux claires qui pourrait faire tomber les hommes avec seulement un clin d'œil, vêtis d'une chemise blanche près du corps avec un pantalon tombant sur le sol, perché sur des hauts talons qui pourrait en faire donner le tournis à un bon nombre d'hommes ou de femmes, elle dégageait une prestance qui je dois avoué m'avait couper le souffle.

Un homme en costard, la tenait par le bras en fronçant des sourcils, il était rouge de colère.

« Je te promet que si tu ne me lâche pas, je vais te mettre mon talon là où je pense » dit-elle en se libérant de son étreinte puis elle se tournait vers nous, ses yeux rencontrèrent les miens, elle se mis à me détailler comme je l'avais fait il y a quelques minutes, pas une once de peur passait dans son regard malgré les quelques calibres pointés sur elle.

Elle se mordait la lèvre et je dois dire que la savoir sensible à mon charme ne me rendait pas indiffèrent.

« Je te présente mon léger contre temps, ma fille Natalia Fernandez »se levait Nino pour demander à l'homme qui était entré avec la brune d'attendre devant.

« Enchanté, vous pouvez baissez vos armes » dit mon père à l'attention de nos hommes.

Le père et sa fille, nous rejoignaient à prendre place sur les chaises, j'avais même surpris les yeux de Nino qui sermonnait sa fille qui levait les yeux en l'air, de manière insolente.

« Castiel, je voulais vous prévenir que votre frère a perdue toute ses parties bleus et il faut les récupérer à tout pris » me dit Nino en montrant de son doigt des points bleus sur une grande carte exposé entre nous deux.

« Tu devrais envisager de garder les parties bleus -» il se fit couper la parole par sa fille qui prit la parole.

« Je vais me permettre de te dire que tu racontes n'importe quoi » dit-elle en finissant son verre d'eau.

« Pas maintenant Natalia » lui avertissait son père.

Mon père me jetais un bref regard.

Nous avions devant nous une vraie scène de ménage.

« Je veux bien entendre ce qu'elle a, à me proposer » dis-je en croissant mes bras.

Fière de pouvoir avoir le droit à la parole, elle se levait et se mit à coté de moi.

Elle sentait la vanille.

« Toutes les parties rouges t'appartiennent-» elle se fit couper à son tour par son père.

« Le vouvoiement » dit-il en la pointant du doigt.

Je me retiens d'esquisser un sourire quand Natalia le traitais d'imbécile dans sa barbe.

« Toutes les parties rouges vous appartiennent et elles sont éparpillées un peu partout dans ce globe mais la partie la plus importante ce situe en Espagne et toutes les autres parties bleus appartiennent aux Russe » dit-elle concentré en dessinant des flèches.

« Si j'étais vous, je leurs laisserais les parties bleus de toutes façons ce ne sont pas les plus importantes et vous n'en n'avez pas besoin dans l'immédiat » continuait-elle.

Intelligente en plus.

« Alors je propose que vous vous concentrez sur les parties oranges qui appartiennent aux français car elles sont dispersées dans des pays avec de riches ressources et donc si vous souhaitez un jour les revendre vous pourrez vous faire un paquet d'argent et après les avoir toutes possédées, les parties bleus seront cernés et seront dans l'obligation de vous les céder car les oranges entourent les bleus et dans le cas contraires si vous ne m'écoutez pas ça se finira en bain de sang et pour les parties violettes sont les moins importantes, car elles sont très peu présentes c'est à vous de voir si vous les voulez ou pas mais vous gagnerez moins bénéfices » elle nous avait épaté c'était le cas de le dire.

Elle était fière d'avoir fait taire son père qui malgré la colère dans ses yeux reflétaient aussi de la fierté.

« Je vous remercie pour votre aide, Diego tu vas me retranscrire tout ce que la Mademoiselle vient de nous dire » dis-je à un de mes hommes.

                                                                                             . . .

Nous sommes restés plus de deux heures en réunion avec les Fernandez, après avoir élaboré un plan contre les Russes, il était temps de les saluer.

Natalia avait fait preuve de bon sens, de maturité malgré son jeune âge même si je ne connaissais pas son chiffre, j'étais sur qu'elle avait la vingtaine.

« Ça été un plaisir Nino, nous nous verrons sûrement au festival samedi » dit mon père en lui serrant la main.

Il prit la porte avec ses hommes derrières lui, sa fille, elle, était en retrait et attendait que tout le monde s'en aille pour nous saluer.

Ses talons claquaient au sol quand elle s'approchait et je ne pu m'empêcher de la détailler maintenait que son visage était a quelques mètres du miens.

Grand yeux vert, petit nez, bouche rougis pulpeuse, tache de rousseur, de belles pommettes.

Ouais, elle dégageait quelque chose de puissant.

C'était le genre de fille qui plaisait à n'importe qui, même à ceux qui avait des critères bien particuliers.

« Merci encore de m'avoir laissé le droit à la parole, j'avais des preuves à faire auprès de mon géniteurs »

Je retenais qu'elle ne l'avait pas nommé comme son père, j'en déduis que les rapports étaient plus que glacial.

« Avec plaisir, si cela peut vous réconforter votre prise de parole a été très importante durant cette réunion et votre point de vue a été des plus appréciés » dis-je en lui tendant ma main.

« Au revoir Monsieur » dit-elle a l'attention de mon père.

Elle me sourit sincèrement avant de répondre à mon étreinte avant de prendre la porte.

Putain son sourire.

Me voila redevenue un adolescent qui agissait comme si il n'avait jamais vus de filles.

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PLAYBOY | stephen james Où les histoires vivent. Découvrez maintenant