My teacher (relation prof/élève)

Chapitre 6

POINT DE VUE BENJAMIN

Fait chier. Ça fait pas mal de temps que je mettais pas pris une tel cuite. Je n'ai littéralement aucun souvenir de ce qu'il s'est passer hier soir. Je ne me souviens même pas du moment où je me suis retrouver à parler à Charlie mais ce matin elle dormais sur mon torse. J'ai fait comme si je ne l'avais pas vu et find dormir jusqu'à ce qu'elle se réveille et qu'elle parte.

Je pus le vomi merde. Je me suis vraiment vomi dessus? Faut vraiment que j'aille prendre une douche. Puis il est où mon t-shirt? Pourquoi je l'ai enlever? J'ai tellement peur d'avoir fait une connerie hier.

Je me dirige lamentablement vers la salle de bain, avachi sur moi même avec un mal de crâne insupportable. A quelque pas de la porte de la salle de bain, le verrou s'ouvre. Je me redresse rapidement pour que personne ne me voit dans cette état.
C'est Charlie. Elle avait un haut kaki avec un pantalon noir. Elle s'arrête en me voyant.

Je pris la parole afin de lui dire que je ne me rapeller pas de ce qu'il c'était passé hier, mais elle me coupa pour me dire qu'elle ne se rapeller plus de ce qu'il c'était passer «Plus à partir du jardin a peu près quand j'avais froid et que tu m'as prêter ta veste. »
Ah parce qu'on est aller dans le jardin?
Je ne lui laisse pas le temps de finir et vais rapidement m'enfermer dans la salle de bain. Je n'osais soudainement plus lui dire que je ne me rappeler de rien non plus.

Une fois fini de me préparer je retournais en bas ou se trouver déjà Alexandre. Il était entrain de ranger le salon du mieux qu'il le pouvait. Avec tout ma gentillesse j'entrepris de l'aider mais cette hélant de bonté ne dura pas plus de 10 minutes que nous étions déjà sur le canapé à jouer à la play.

Clara descendit à son tour dans le salon et s'énervait lorsqu'elle nous vis en train de jouer.

« Le petit déjeuner va se préparer tout seul peut être? Bande de flemmard!!! »

Alexandre se leva en rigolant en direction de la cuisine et je fit de même. Alors que nous préparions des œufs brouillés, j'entendis Charlie arriver en saluant tout le monde. Je n'osais pas la regarder, cela me semblait comme un affront. Je m'en voulait terriblement pour mon insouciance. Avoir bu et dormi avec une mineure qui plus est, mon élève! Cette histoire devait rester entre nous. Ce que je lui fis comprendre au plus tôt.

POINT DE VUE CHARLIE

Clara se leva en rigolant sans explication et revient quelque minute plus tard avec deux cachés d'aspirine. Elle en tendis un à benjamin et un à moi. Sous le regard incompréhensif de benjamin elle ajouta

« Hier soir on vous a laisser tout les deux dans les toilettes entrain de vomir osaient pas me dire que vous en avez pas besoin. C'était une première cuite prometteuse Charlie. »

Je rougis honteuse. C'était ça le vomi sur ma chemise. Je me suis vraiment mis minable pour ma première cuite. Je pris l'aspirine sans un mot alors que benjamin explosa de rire. Comment il pouvait trouvait ça drôle? C'est ridicule...

« La blame pas trop à ma première cuite on a fait un coma éthylique » dit il sans s'arrêter de rire.

Alexandre le rejoignis car il savait que ce « on » c'était eux deux. Le petit déjeuner se déroula très bien malgré le fait que je n'osais pas regarder benjamin. Peut être que je n'aurais pas du lui dire que je ne me souvenait de rien? Il doit sûrement me trouver ridicule... rrraaahhh j'en ai marre... quelqu'un peut m'expliquer pourquoi je suis comme ça? Pourquoi je me suis mis dans cette état et que maintenant face au fait accomplie de ma bêtise, je n'arrive pas à en assumer les conséquences? Je suis ridicule. Absolument ridicule.

Malgré la boule au ventre qui se forme dans le creux de mon ventre, je rejoint leur rire, connaissant déjà l'histoire évoquée par Alexandre. Alors qu'ils était encore jeunes, plus jeunes que moi, les deux comparses et d'autres de leurs amis on fait une soirée pyjama chez l'un d'eux et on trouver une bouteille de rhum. Connaissant rapidement les effets sans connaître les véritables conséquences, Benjamin et Alex se sont amusé à boire le plus possible. Mais le corps d'un jeune de quatorze ans n'étant pas fait pour ça, les deux finirent en coma éthylique nécessitant l'intervention des pompiers.

L'ambiance était plutôt agréable, nous rigolions tous ensemble sans se soucier du reste. Clara proposa alors de jouer au jeu « limites limites » qui est un jeu très drôle mais pas pour les enfants. Au plus le temps passer, au moins je me soucier du fait que Benjamin était mon professeur. Je remarqua qu'il était de même pour lui lorsque celui ci rigola en mettant sa main sur mon épaule et se rapprochant de moi amicalement, pour l'instant.