💋 Chapitre II💋

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Deux longues semaines s'étaient écoulées depuis la mort de mamie, Enrique et elle, faisaient de leur mieux pour reprendre leurs activités en force, bien que ce fit difficile.

Pour pouvoir payer les factures, Lucretia avait pris un deuxieme boulot,ce qui ne lui laissa quasiment plus de temps. Ses amis étant tous des gosses de riches, lui avaient proposé de l'aider avec les dettes mais elle avait refusé catégoriquement.

-On devrait contacter les amis de Mamie. Dit-il en s'asseyant sur la table de la salle à manger.

- Tu crois?

- Ca nous ferait du bien, de connaitre ses fameux amis, au moins, on ne sera peut-etre plus aussi seuls, expliqua-t-il.

- Tu as raison, allons chercher ce coffre.

Ils se levèrent puis se dirigèrent vers la chambre de leur tendre grand-mère. Entrée, dans la chambre de cette derniere, une tristesse envahit tout leur être. Ils se dirigèrent vers le coffre, puis Enrique composa le code qu'ils connaissaient tous, l'anniversaire de la mort de leur mère. Il y avait quelques billets puis un carnet d'addresse, dans lequel ils aperçurent effectivement des noms et l'addresse dont avait parlé Mamie.

- On devrait y aller! dit-Enrique.

- Cuernavaca C'est drolement loin d'ici.

- On y mettra 30 heures pour y parvenir.

-A moins qu'on ne prenne l'avion, mais On n'a pas les moyens! Précisa la jeune fille.

- L'argent du coffre suffira. dit Enrique tenace.

- Ok!

- On s'y rend demain alors?

- Va donc faire les réservations!

Ils étaient daccord pour se rendre dès le lendemain à Cuernavaca. Lucretia ne savait pas trop ce qu'elle espérait de cette rencontre. Et s'ils ne se souvenaient pas de mamie? Où s'ils considéraient que nous n'étions que des opportunistes, pensa la jeune fille. Mais s'était aussi la derniere volonté de leur grand-mère, il fallait la respecter.

Le sommeil l'avait emporté difficilement, une tonne de reflexions lui venaient à l'esprit. Elle avait aussi pardessus tout, une très mauvaise sensation, comme si quelque chose allait se passer là-bas, plus les heures avançaient plus elle avait peur. Elle s'était dit que c'était peut-etre le trac de l'inconnu, la premiere fois qu'elle allait prendre l'avion en plus elle ne connaissait pas du tout ces gens.

Dans la matiné, Elle s'était reveillée, avait pris le petit déjeuné puis avait pris le chemin de l'aeroport avec Enrique. Le chemin avait été fatiguant, ils avaient du payé un guide pour parvenir à Cuernavaca vu que la ville était vaste. Il n'y avait que de grandes maisons, le genre dont elle avait toujours rêvé d'avoir. Assise dans le taxi, à chaque maison qu'elle voyait, elle espérait être arrivée.
Enfin, le taxi s'arrêta, et le guide les fit signe de descendre. Ils s'arrêtèrent devant une maison pharaonique, d'une splendeur épatante.

 Ils s'arrêtèrent devant une maison pharaonique, d'une splendeur épatante

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