Idiote ! (Réécriture)

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Pdv (t/p)

Je me réveille avec avec des courbatures de partout et un sacré mal de tête sous le bruit incessant de mon réveil. J'ai du dormir que deux heures hier je suis fatiguée et pas en état d'aller en classe aujourd'hui mais je peux pas non plus squatter l'infirmerie indéfiniment. Je prend donc mon courage à deux mains et éteint l'alarme de mon téléphone.

J'attends une dizaine de minutes avant que recovery Girl n'arrive.

Recovery Girl : Ta mère est venu déposer des habilles hier soir. Elle me les tends et je les prend. Il y a une douche dans la pièce d'à côté. Je t'invite à en prendre une, ça va détendre tous tes muscles. Prend en une chaude.

Je me lève et commence a partir

Recovery Girl : J'ai demander au cuisinier de te préparer un petit déjeuner pour se matin. Une fois prête, tu pourras prendre ton sac et aller à la cantine. Ton plat sera prêt dans une dizaine de minutes.

Je la remercie puis pars prendre ma douche.

Je commence à faire couler l'eau puis me déshabille. Je rentre dans la douche puis fais coulé l'eau chaude sur ma tête.

Elle est si gentille avec moi alors que rien ne l'oblige. Sa seule obligation est de soigner les élève et rien d'autre. Elle est une personne bien.

Je reste une dizaine de minutes sous l'eau chaude histoire d'être à l'heure pour mon petit déjeuner.
Je mets mon uniformes puis prends mon sac. Pour finir, je coiffe mes cheveux avant de partir en direction la cantine.

J'arrive dans la pièce.
Elle est vide et silencieuse.
Pas un bruit
Ça change du temps du midi.

Je vois Lunch rush et lui demande timidement s'il peut rester avec moi le temps que je mange.
Je discute avec lui alors que je mange mon petit déjeuner qui est constitué de tranche de pain de mie avec étalé dessus du Nutella, du pain avec du beurre, un bol de céréales et des œufs aux bacon. C'est vraiment bon.
Une fois fini je débarrasse mon plateau en le remerciant et le félicitant pour ce délicieux petit déjeuné puis monte en salle de classe.

Il est 7:30 et il y a personne. Je prend mon téléphone et envoie un message à Monoma. J'avais pensé à Bakugo en premier mais je pense pas qu'il m'apprécie des masse.

Je souris devant mon téléphone comme une idiote. Heureusement que personne n'est là pour voir ça.
En l'attendant je décide de donner de mes nouvelles à ma mère et à mon frère.

Une dizaine de minutes plus tard, je vois Monoma entré en furie dans ma salle de classe. Il est essoufflé, ce qui me fait rire puis je l'invite à s'assoir dans une place à côté de moi mais il refuse. Il me demande de le suivre, ce que je fais.

Monoma: Laisse ton sac et ton téléphone t'inquiètes, tu n'en auras pas besoin

Il me souris. Je laisse mon sac à ma place puis il me prend le poignet et me tire jusqu'au seul cerisier encore en fleurs du lycée.

Je lâche un wow puis il se place devant moi, sous le cerisier. Certaines pétales me tombe sur le cheveux mais je suis trop concentré à le regarder. Il me souris et je peux voir le rouge de ses joues s'intensifier.

Il s'approche de moi, prend mes mains et prend un air timide. Lui qui avant me regardait dans les yeux, détourne son regard vers le sol.

Monoma: (t/n) je... Hier tu m'as donné une lueur d'espoir alors je décide de saisir cette petite opportunité.

Le rouge commence a me grimper sur les joues. Il replanta son regard dans le mien, aussi rouge qu'avant

Monoma: (t/n), veux tu bien faire de moi l'homme le plus heureux de tout le monde en acceptant d'être ma petite amie?

Moi: M..moi?

Monoma avec un petit rire Oui toi idiote qui d'autre?

Je place mes bras autour de sa nuque puis l'embrasse. Il ne met pas beaucoup de temps avant de répondre a mon baisé avec tendresse

Enfin, mon premier baisé

Pdv Bakugo :

En sachant que (t/n) avait passé la nuit a l'infirmerie, je me suis dis qu'elle devrait être seule jusqu'à 9h00 alors j'ai décidé de venir plus tôt lui tenir compagnie.
Ça fait une dizaine de minutes que je la cherche dans tout l'établissement quand je la vois, sous le cerisier embrassé Monoma.

(La tête de Bakugo en ce moment)
Je les regarde échanger leur baisé plus que passionné en versant quelques larmes silencieusement. Je les essuies puis repart chez moi en me replongeant dans mon lit pleurant toutes les larmes que je peux