Le Blond tatoué 2 {NamJin}

Chapitre 58

- Hyung, tu sais que les inscriptions du concours du lycée sont ouverte ?

- Jimin...

- Oh, aller Hyung ! Je suis sûr que tu as un superbe poème à proposer pour le concourt !

- Non Tae, j'en ai pas.

- Menteur !

- Comme ton poème ! Caught in a lie !

- Tae !

- Attendez, comment vous savez que j'ai écrit ça ? Vous avez lu mon carnet en braille ?!

- Noooooooooon.

- Absolument pas Hyung !

- C'est pour ça qu'il n'était plus à la même place quand j'étais parti aux toilettes hier lors de votre venu ! Vois avez lu dedans ! Je savais que je l'avais mis sur mon bureau et non ma table de chevet !

- C'était plus fort que nous, désoler Hyung...

- Pour information ce n'était pas un poème mais des paroles de musique que je faisais pour toi Jimin.

- Ah...

- Pardon...

Namjoon soupira en terminant de mettre ces chaussure et en accrochant la laisse de Tokyo à son poignet, reprenant son téléphone qui était sur haut-parleur.

- En tout cas je retiens quelque chose...

- Qua tu retenu Tae ? Le fait qu'il ne faut pas fouiller dans mes affaires ?

- Non le fait que tu ne m'as pas écrit de chanson à moi !

- Vous me désespérer...

- Mais c'est comme ça que tu nous aimes !

- Ah bon ? Je vous aime ?

- Hyung !

- Dit pas ça !

Le plus âgé ria et ouvrit la porte en mettant ces lunettes et en prenant sa canne, ignorant volontairement sa boule de stresse.

- Je sors, je dois vous laisser.

- Ça vas aller ? On peut venir si tu veux ! C'est la première fois que tu sors seul...

- T'en fait pas Chim, Jade m'a aidé et on a fait une dizaine de fois le chemin afin que je le mémorise bien, au pire j'ai Google Map et je vous appelle.

- Oui ! Hésite surtout pas à nous appeler !

- Bon, je raccroche avant d'être en retard, au revoir les gosses.

- Yah !

- Hyung !

Le noiraud raccrocha en ria et ferma derrière lui la porte.

Enfin après plusieurs semaines il reprenait les séances, tous ces amis lui avais vraiment manquer mais jusqu'à présent il ne se sentait pas prêt à reprendre les séances. Eun Jae fut très compréhensive et l'encouragea à prendre son temps mais à présent il se sentait prêt, il voulait de nouveau reprendre chaque semaine les séances.

Déjà plus d'un mois que la vue ne faisait plus partie de ces sens et, s'en sens rendre compte il terminait son deuil.

Il tata doucement le sol, avançant lentement mais sûrement vers l'immeuble de l'association, il entendait divers passant, certain au téléphone, d'autre discutant entre eux. Il déduisait à l'odeur et au bruit des conversations qu'il passait prêt d'un café, le bruit des voitures indiquait une faible circulation et l'air semblait doux, aucun risque de pluie.