Drago Malfoy : L'amour est Il Possible.

Histoire de famille (Partie 1)

Je suis Mérisa et je suis une sorcière française, j'ai grandi avec mes mères adoptives dans l'ouest de la France. L'une d'elle est la ministre des affaires magiques française tandis que la seconde est une moldue ignorant tout du monde magique.

Quand, pendant l'été après mes onze ans (je suis née en Février), l'école de Beauxbâton m'a envoyé ma lettre d'admission, ma mère sorcière l'a intercepté. Elle est venue me l'apporter directement pendant que ma mère mordue était au travail.

- Je ne savais pas, m'expliqua t'elle, si tes parents biologiques étaient ou non des sorciers. Je n'ai donc jamais voulu t'en parler pour éviter de te laisser rêver à une école où tu n'irais peut-être jamais. Maintenant que nous sommes fixés je vais pouvoir tout te raconter sur le monde magique et sur mon boulot.

C'est ainsi qu'en deux mois j'en appris le plus possible sur la magie pour pouvoir, en septembre, en connaître pratiquement autant que les autres sorciers nés dans des familles de sorciers.

Nous expliquâmes à ma mère moldue qu'en raison de mes bons résultats nous avions pensé que ce serait une bonne idée que j'aille dans un pensionnat que nous avions découvert dans le sud et qui me permettait de conserver un excellent niveau scolaire. Vers fin août, elle m'emmena à Paris sur la place cachée dont l'entrée était dissimulée par une statue de bronze, pour acheter le nécessaire scolaire :

- Une baguette magique.

-Un chaudron standard en étain.

-Quelques flacon de cristal.

-Un télescope.

-Une Valence en cuivre.

-Un manuel pour chacun de 20 cours différents proposés à l'académie (sport exclu).

-Une paire de gant protecteur en cuir de dragon.,

-Une cape d'hiver, le reste de l'uniforme sera fourni à la rentrée.

J'acheta sa baguette dans le magasin le plus réputé de lallée : Cosme Acajor, elle était en bois d'acacia avec un cur en épine de monstre du fleuve blanc mesurant 25 cm, fine et plutôt flexible.

Le jour de mon arrivée à l'école quelque jour plus tard, je restai bouche bée devant la magnificence du palais et de ses jardins. Il était plus beau encore que tous les châteaux moldu que j'avais pu visiter jusqu'alors.

Je découvris durant les premières semaines Larithmancie, Lastronomie, La Biologie, La Botanique, La Divination, Léducation Sorcière, Létude des Moldus, Les Forces du Mal, Le Français, Lhistoire et géographie sorcières, Lhistoire et géographie moldues, Les Langues mortes, Les langues vivantes, La littérature sorcière et moldue, La Magie Ancestrale, La Médication, La Métamorphose, Les Potions, Le Soin aux Créatures Magiques, Les Sortilèges, et enfin Le Sport.

Je me fis quelques amis parmi les élèves des différentes nationalités de l'école mais principalement des français car la barrière de la langue restait un obstacle tant que nous n'avions pas appris les langues des uns et des autres.

C'est durant ma seconde année que je commençai à vouloir en savoir plus sur mes parents biologiques, en effet un professeur m'avait demandé si mes parents avaient eux aussi fait leurs études à l'académie et j'avais répondu ou en pensant à ma mère adoptive avant de réaliser enfin que je ne savais rien de mes vrais parents.

Mes mères m'aidèrent et en trois ans je pu découvrir dans mon dossier d'adoption que ma mère était une femme nommée Tuarlia Dumont. Ma mère se renseigna auprès du ministère et découvrit que c'était une sorcière qui avait déménagé en Angleterre à ces 11ans avant de revenir en France quelques mois avant ma naissance. Elle était malheureusement morte lorsque j'avais deux ans et n'avait rien laissé derrière elle pour que je sache pourquoi elle m'avait abandonné ni qui était mon père.

Lorsque lors de ma cinquième année Fleur Delacour et les autres candidats pour la coupe des trois sorciers partir à Poudlard je souhaitais les accompagner mais je ne le pu car je n'étais encore âgée que de quinze ans au début de l'année ...

Je fis donc une demande pour être transféré, l'année d'après, à Poudlard.

C'est ainsi que je me retrouvais, le premier septembre 1995, dans le Poudlard express vêtu de mon nouvel uniforme.