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« Rends- le moi

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« Rends- le moi. »


S A Â D.


— Ayna tu fais quoi là ?

Ayna— Je voulais passer te voir mais je voulais aller au toilette avant.

Y'a eu un moment de silence.

Ayna— Je comprends mieux pourquoi il t'a prise comme stagiaire.
T'as du passer sous la table.

Shaëlee— Pardon ? Chérie si tu te fais embaucher en passant sous le bureau ce n'est pas le cas de tout le monde.

Shaëlee— Tu sais certaine on ce qu'on appelle la dignité.

J'avoue j'ai rigolé.

Shaëlee est sortit des toilettes et moi je suis resté à fixer mon ex fiancé.

— Qu'est ce que tu veux ?

Ayna— Toi.

— Rentre chez toi c'est mieux.

Ayna— Sadou t-...

— Saâd.

Ayna— Ça te dérangeais pas quand je t'appelais comme ça avant.

Bref elle m'a soûler.
Je l'ai contourné pour sortir des toilettes mais elle a retenue mon bras.

— Lache moi.

Elle a commencé à pleurer. Larmes de crocodile mon frère.

Ayna— Qu'est ce qu'elle a de plus que moi ?

— Elle te l'a déjà dit : une dignité.

Ayna— Saâd...ne me fais pas ça. Pense à Anwar.

— Qu'elle mère utiliserai son fils pour retenir un homme ?

Ayna— Mais je t'aime.

— T'aime mon argent mélange pas tout.

Ayna— Tu sais très bien que c'est faux. Et je t'ai appelé hier soir pourquoi t'as pas répondu.

— Parce que j'ai regardé sonner.

Bref.
Je suis sortit de là , je lui ai accordé trop de mon temps.

Je suis remonté dans mon bureau et j'ai vu par la porte du faute que Shaëlee était déjà entrain de travailler.

J'ai pas voulu la dérangé plus que ça.

J'ai commencé à travailler puis j'ai entendu Shaëlee parler. Je pensais qu'elle parlait pour moi donc j'ai écouté mais j'ai remarqué qu'elle était au téléphone.

Shaëlee— Quoi ?

?—...

Elle—  Non non c'est pas possible.
Comment il va Maïron ?

?—...

Elle— Euh ok je dois prévenir mon patron.

Je l'ai entendue se lever et elle est apparue devant moi son sac à la main.

Shaëlee— Excuse moi mais je dois vraiment y aller.
Mon frère est à l'hôpital et j-...

— T'inquiète pas.Vas-y.

Shaëlee— *sourire* merci.

Elle s'est dépêchée de sortir et puis j'ai repris mon travaille.

A peine elle était sortie que j'ai vu mon frère et mon fils rentré sans frapper.

— Euh pardon ?

Messiah— J'ai pas le temps pour ta politesse la.
Je vais te dire un truc et ça va pas te plaire.

Mais déjà qu'est ce que Anwar fait ici.
Il est censé être à l'école.

— Je t'écoute.

Messiah— Donc tu vois j'avais pas cours aujourd'hui du coup je me suis dit qu'au lieu que ce soit la nounou qui aille chercher Anwar à midi aujourd'hui je vais y aller moi même.

Messiah— Et donc j'arrive devant l'école avec Stev et tout et petit à petit je vois les élèves il parte mais je vois pas Anwar.
Du coup j'appelle la nounou et je lui demande si elle quand même aller le chercher malgré le faut que je l'avais prévenu.

Messiah— Elle me dit que non mais que Ayna l'a appelé pour savoir qui allait chercher Anwar aujourd'hui.
Du coup j'appelle Ayna tout ça elle répond pas.
Donc je rentre dans l'école et je demande à la maîtresse si elle a vu avec qui Anwar était partit.
Elle m'a dit que 2 heures avant la pause déjeuner Ayna est venue le récupérer.

Lui— Donc moi qu'est ce que je fais ? Bah je dis ça à Stev et on va chez Ayna.
Quand on arrive on l'a voit entrain de descendre ses escaliers avec des valises et tout et elle a donné une claque à Anwar qui pleurait déjà.

Mon poings il s'est fermé d'une force.

Lui— Alors moi je me suis énervé et je l'ai poussé loin d'Anwar.
Quand elle m'a vu elle s'est mise à pleurer et tout en essayant de fuire dans sa voiture mais Stev l'a arrêter pendant que moi j'étais aller voir Anwar.
On a appelé la police tout ça ils l'ont embarqué

Je suis resté silencieux un moment avant de revenir à la réalité en entendant mon fils parler.

Anwar— T'es fâché contre moi papa ?

— Non beau goss. Jamais.

Anwar— Ma maman elle va être puni ?

— Oui. Mais t'en fait pas je gère.

Anwar— Je te fais confiance papa.

Rien que l'idée de me dire que c'est peut-être pas la première fois qu'elle lève la main sur mon fils j'ai envie de l'enterrer vivante.

Je dois la faire interner et vite.





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Calësiya.

« Rends le moi. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant