~Le kidnappeur~ Végéta & Bulma

Chapitre 5

Végéta: On ne bouge pas d'ici.

Bulma: co... Comment ça?

Végéta: Tu reste ici.

Bulma: Ecoute Végéta, je peux et je vais partir d'ici quand je le voudrai!

Végéta: J'ai faim.

Bulma: Tu ne comprends pas. Mon père doit être mort d'inquiétude en ce moment. Et mon copain est probablement déjà parti à ma recherche. Tu ne peux pas me garder ici! ( Je suis quasi sur que ce que je dis est faux...) Donc il faut que je rentre chez moi maintenant. Ou au moins que je puisse leur dire que je vais bien. Végéta, est ce que tu m'écoutes? Dis quelque chose!

pdv omniscient: Cette fois-ci, il se tourne pour regarder Bulma droit dans les yeux, et la fixe assez longtemps pour quelle commence à se sentir mal à l'aise.

Végéta: Non. Tu ne bouge pas d'ici.

Bulma: Est-ce que t'as perdu la tête?? Tu ne peux pas m'empêcher de partir!

Végéta: En ce moment même, tu es plus en sécurité ici avec moi que dans n'importe quel autre endroit au monde. Fais moi confiance.

Bulma: Et pourquoi est-ce que je ferais confiance? Tu n'as pas le droit de me retenir ici contre ma volonté! C'est du kidnapping! La police va finir par nous trouver!

Végéta: Du calme. Ma patience est limitée. Et je n'ai pas prévu de te garder ici pour l'éternité, alors détends-toi.

Bulma: Ah oui? Très rassurant! Et si tu me disais ce qu'il se passe, putain??

pdv Bulma: Végéta ignore complètement ma question.

Végéta: Puisque tu vas rester ici, il y a une chose importante que tu dois savoir a mon sujet, c'est que je n'aime pas me répéter. Je t'ai dis que j'avais faim.

Bulma: Ah oui? Dommage qu'on soit coupés du monde dans cette maison! On aurait pu se faire livrer Uber Eats.

Végéta: On dirait bien qu'on a une petite maline dans la maison...

pdv Bulma: Végéta me fixe d'un regard glaçant. Sa serviette est fermement enroulée autour de sa taille. je vois des petites gouttelettes couler le long de son corps dur et puissant, ce qui perturbe ma concentration.

Végéta: prépare moi quelque chose à manger. Je meurs de faim.

Bulma: Hé, attends un peu! Si tu crois que je vais obéir à tes ordres comme une petite chienne, tu te mets le doigt dans l'oeil!

pdv omniscient: Ca coupe Végéta qui s'apprêter à renter dans la maison. Lentement il se retourne et s'approche jusqu'à ce que visage soit à quelque centimètre du visage de Bulma. Elle sens son coeur s'arrêter.

Végéta: Je meurs de faim. Et toi aussi. On ne peut pas sortir de la maison. Du coup, c'est très simple, soit tu nous fais à manger, soit on continue tous les deux à avoir faim. Tu peux te servir de tout ce qu'il y a dans la cuisine. Je ne suis pas compliqué, donc ne te prends pas la tête. Je reviens dans un moment.

pdv omniscient: Végéta se retourne et disparaît de la cuisine. Encore en état de choc, Bulma essaye de comprendre ce qu'il lui arrive.

pdv Bulma: Il m'a enlevée. Et maintenant, il veut que je lui fasse à manger?! Très bien. S'il veut la jouer comme ça. Mon estomac gargouille de toute façon. Peut-être que je pourrai mieux réfléchir à la situation avec l'estomac plein. Je rassembles tous les restes du frigo et les ingrédients que je trouve dans le garde-manger, et les disposes soigneusement sur le comptoir. Je vais lui faire du pad thai, c'est probablement le meilleur plat exotique, plein de riches saveurs d'Asie, et étonnamment simple à préparer!

pdv omniscient: Après avoir décidé de la recette à préparer, elle se mets au travail, bien décidée à exercer ses talents culinaires. Bulma est captivée par ses mélanges d'ingrédients et l'équilibre des saveurs. Une sensation douce et enveloppante l'envahit. C'est la première fois qu'elle es aussi sereine depuis la mort de sa mère. Le déjeuner est enfin prêt. Elle se retourne pour appeler Végéta elle fais un petit bond en arrière lorsqu'elle qu'il se tient juste derrière elle.

Bulma: Ah, te voilà. J'allais t'appeler. Le repas est prêt.

Végéta: Alors, qu'est-ce que tu nous as préparé? Ca n'a jamais sentie aussi bon dans la cuisine. Le repas a intérêt à être à la hauteur. 

pdv Bulma: Je grimace en entendant le ton autoritaire de sa voix, il y a quelque chose que je ne supporte pas. je pose une assiette juste en face de lui et le sers. Il enchaîne les bouchées, les unes après les autres, à mon plus grand plaisir. Le voir dévorer le repas que je lui ai préparé provoque un étrange fourmillement dans tout mon corps.