Chapitre De Ma Vie

Huitième partie:

Arrivé à l'hôpital, zahra est directement amenée en urgence à la salle d'accouchement .
La sage femme: Vous êtes sa maman!
-Simone : Je suis sa tante.
-La Sage femme : On va l'opéré sinon le bébé risque de mourir.
-Simone: Elle va s'en sortir?
-La Sage femme: On fera de notre mieux.
Elle s'en va.
Je m'assois à côté de Simone et on se serre nos mains.
-Simone: Ça va aller !!
Une heure passait et on avait aucune nouvelle, les sages femmes entraient et sortaient avec leurs blouses blanches et roses sans nous pipé mots.
On en pouvais plus d'attendre.je décide d'aller parler à une infirmière qui sortait de la salle avec un plateau à la main.
-Ndeye: Madame! Excusez  moi ? Notre Malade elle a déjà accouchée ?
-l'infirmière : Bonjour Mademoiselle ! Oui elle a accouchée d'un mignon petit garçon ! La sage femme sera à vous bientôt Félicitation!!
Simone et moi  on soupir en souriant.
Quelques minutes plus tard la sage femme viens vers nous le bébé dans ces bras.
-Elle : Félicitation mesdames! Elle a accouchée d'un très beau petit garçon,il est prématuré deux kilos neuf cents mais il va s'en sortir  .
Elle me l'a tend et je l'a prend avec délicatesse par peur quel tombe. J'arrivais pas à y croire ! Il est si mignon et si petit ,il ressemblait gravement à Zahra.je l'a donne à Simone qui le prend à son tour toute souriante.
-Ndeye: Dites  moi Mme,Zahra est ce qu'on peut l'a voir? Elle doit être fatiguer  mais on va pas trop duré.
La mine de son visage changeant tout d'un coup.
-La sage femme: Ma fille! Écoute on a fait tout notre possible pour sauver la maman mais dieu en a décidé autrement.
Je suis vraiment désolée !!
Je refais deux pas en arrière car j'arrivais plus à tenir sur mes deux jambes.
-Ndeye: Cela veut dire quoi??
-La sage femme: Elle est malheureusement décédée.
Je CRIAIS!!
-NON!NON!NON! Tu ment ! C'est pas vrai tu ment...
Je lui prends par le Cole de sa chemise,le personnel courut pour nous séparer
-Laissez moi tranquille! Vous mentez tous! Zahra ne me fera jamais une chose pareille.
On m'amène dans une salle  pour me calmer Simone à côté de moi pleurait de chaudes larmes.
La sage femme me donne de l'eau à boire ce que je fais.
-La sage femme : Mademoiselle vous devez être forte! Je sais que c'est très dure de perdre un être cher mais on ne peut rien contre la volonté divine.

-Ndeye: Vous me parlez de quel Dieu? Ce Dieu qui m'a pris ma mère enh? Ce même dieu qui a fait que j'ai pas connue mon père et il vient de me prendre ma meilleure amie? Et vous me parlez de lui?
Je CRIAIS!!.
-Qu'est ce qu'il a fait pour moi ce Dieu à part me rendre malheureuse depuis ma naissance !
Je descends du lit ou j'étais assisse.
-Je veux voir Zahra? Je veux l'a voir ?
-La sage femme: Vous en êtes sûre ? Suivez moi ?
Elle ouvres la porte et je reçois le choc de ma vie.
-Ndeye: Ah mon dieu!
J'avançais nonchalante! J'arrivais pas à y croire,tout mon corp tremblait  donc Zahra était vraiment morte.
Elle était étaler sur le lit et couvert d'un drap blanc,on ne voyait que ces beaux pieds.
J'enlevais le drap avec mes mains tremblante,mes larmes coulaient à flot et j'apercevais son beau visage intacte plus jolie que jamais,sa chevelure lissée, ces jolies petit mains croisées sur sa poitrine.
Je l'a secouée en CRIANT !!
-Zahra lève toi? Lève toi je te dis..lève toi... ??
La sage courut .
-Elle: Ndeye s'il te plait invoque Allah! Il faut que tu sois forte!
Je tombais dans les pommes..

Je me suis réveillée à la maison entourer de Bintou,Habib Gueye et Simone.
Ndeye: Où je suis ??!
-Habib Gueye: Ma chérie tu es à la maison tu t'es évanouie à l'hôpital et à ton réveil le médecin t'a donné des calmement pour que tu puisse dormir.
-Bintou: Je suis venue des que j'ai su la nouvelle  et j'en suis désolée  Zahra était comme une soeur.
-Simone : Je ne sais même pas où commencer ! Je suis dévastée..je me suis habituée à le voir tout les jours à mon réveil..Dieu tout puissant !
J'essaie de me lever du lit,Habib me tient main forte
-Ndeye: Je veux voir le bébé, il faut que je vois le petit il a besoin de nous...
Ils me regardaient tous sans rien dire..