•Alone•

Une soirée mouvementée.

» 21/01/15, 17h.

J'escaladais le bateau, et cela non sans peine.
Je posa mon pied sur le parquet de celui-ci, un grincement se fit entendre. Je posa mon deuxième pied, en essayant de garder un minimum d'équilibre, puis, dans une poussée d'adrénaline, je courais vers la salle où les sacs sont rangés. Je trouvais  nos valises. J'en empoignais une, puis deux, et les tira vers le bord du bâteau.

Bordel, c'est lourd.

Je revenais à la salle, je fatiguais, mais ce n'était pas vraiment le genre de moment où je devais méditer. Quoique, mes parents sont restés en France, je devais venir en Corse uniquement pour visiter mes grands parents. Même si je detestais mes parents, je sentais tout de même que ceux-ci allaient me manquer...

Allez, Betty. Tu peux le faire.

30 min. plus tard.

Toutes les valises et les sacs d voyages sont sur le bord du bateau. Je lancais les valises une par une sur le sable, avantde suter à mon tour. Maintenant, il fallait que je trouve un endroit calme où réfléchir, et me reposer. Je suis seule sur une île, et cette île se trouve ressembler aux camps de vacances que l'on voit dans les magazines de riches. Elle est juste moin habitée.

Je courus vers  un arbre, celui-ci me semblais pas mal. Une grande branche assez haute et solide se trouvait au milieu de son tronc. Je me dirigeais vers les valises. Les hommes dans le bateau étaient des chasseurs, qui dis chasseurs dit nature. Ils devaient surement avoir de quoi survivre. J'ouvris une valise, et y trouvait des vestes, motifs de camouflages, des imperméables fluos, des pulls, et des bottes. Ce n'était pas à ma taille, mais cela ferais l'affaire.

Je te  vois déjà envellopée dans ces habits, ressemblant à une patate mutée en sac poubelle, Betty.

J'ouvris une deuxième valise.

Oh.

Des armes. C'était des armes.

Heureusement que je faisais du tir à la carabine quand j'était petite, même que j'étais la plus nulle du groupe.

Je foullais encore et trouvais des munitions, et une pochette avecs quelques xanifs et trois couteaux suisse, ainsi que deux gourdes. Je soupirais, heureusement que j'avais embarqué avec des chasseurs...

Après une heure de fouille, j'avais tout ce dont j'avais besoin, même de quoi bricoler. Par contre, mon ventre criait famine, et le soleil se couchait. Je devais faire un feu.

Je me dirigeais maintenant vers la forêt.

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Hello !
Pour l'instant, ce n'est pas riche en rebondissement. C'est à venir. Donnez moi des conseils, kissou !