Parfois la nuit nous laisse seuls, perdus au plus profond de nous même.... les mots viennent, sans queue ni tête, mais ils ne demandent qu'à être inscrit à l'encre noir pour laisser sortir toute l'angoisse et tout le désespoir de la vie, qui est une épreuve bien plus qu'une ballade de plaisance. Quand je l'écris je pense à vous... à vous cinq surtout... vous ne lirez jamais ces mots mais je vous aime tellement.... toi je t'aime d'un amour inconditionnel... toi tu es une amie, ou plutôt je le pensais.... toi tu es si loin de moi maintenant et pourtant je tiens toujours tant à toi.... vous je vous aime car je suis votre fille mais parfois c'est si dur... ces mots sont pour vous, ils sortent de mon cœur et vous disent à quel point ce peut être dur et pourtant que je me battrai pour vous même si vous disparaissez de ma vie ou m'utilisez....
Nuit noire, nuit de désespoir,
Tu te glisses dans chacune de mes cellules
Tu m'envahis, l'empêche d'entendre, de voir.
Je hurle, tout en moi brule.Aucun son ne sort, je reste muette
Je cherche à reprendre pied dans le réel
Ou à trouver un point d'ancrage, de dégel
En boule sous ma couette.J'étouffe, je m'enfonce dans le silence
Mes pensées m'assaillent, se terrent
Pendant que je tente de les faire taire
Avec toujours plus de violence.
Petit à petit je comprends
En larmes, le souffle court et tremblant
Que j'ai paniqué et que j'ai rêvé
Enfin peut-être pas rêvé mais laissé
La réalité s'envenimer
Et prendre le dessous sur toutes mes capacités.J'ai toujours aussi peur
Et je suis toujours aussi seule
Quand tout ça me terrasse dans la terreur.
Je pensent qu'ils m'en veulent
Et que je suis si transparente,
Si insignifiante....Je ne veux plus me battre, apaiser mes plaies
Mais je dois continuer
Pour ne pas chambouler ou bousculer
Les gens qui m'entourent et culpabiliseraient.Pour eux je fais tout
Malgré les remarques, les critiques, le désespoir
Je ne baisse pas les bras et laisse le flou
Régner sur mes nuit noires,
Régir mes pensées et les garder en otages
Pour gravir peu à peu tous les étages
Et sortir de cette crise qui me panique,
Me fait peur, me pique.Un jour je serai la plus forte.
Un jour j'arriverai à ne plus penser à toi, à vous, à eux.
Un jour j'enfoncerai chacune des portes
Qui me retiennent derrière l'étendue bleue
Du ciel, des étoiles, de la nuit
Qui garde mes nuits et tente de me garder en vieMalgré toutes mes angoisses, mes peurs, mes regrets, mes peines, mes doutes.
Je suis née au moi d'août,
Et je vivrai encore
Je continuerai à vibrer en accord
Avec moi même et sans les autres
Qui ne me pensent que joker
Pour leurs angoisses, leurs déprimes, leurs colères
Et oublie qui je suis derrière tous les autres.Jamais je ne vous oublierai
Et vous êtes pour moi ce que j'ai de plus précieux
Bien que vous m'ayez abandonné ou soyez capricieux
Oh oui, moi je vous aimais....
VOUS LISEZ
Un peu de poésie dans ce monde si dur.....
PoesíaDes poésies comme elles me viennent, des mots légers ou lourds, d'amour, des mots secrets, d'espoir, de peur, de noir, de cœur....... Merci beaucoup beaucoup à @Petite_lauu pour la couverture !