Drago Xreader Première romance à Poudlard

Chapitre 34 : Mon patronus

Pleins d'autres patronus flottaient dans la salle. Je vis un loutre, un cheval et un jack russell terrier. Je reconnu le patronus de Harry, un magnifique cerf bleuté. Ce dernier s'approcha de moi.

《 - Pardon pour le retard ! Je révisais et j'ai pas vu l'heure passée et... m'excusais-je
    - T'inquiètes ! D'ailleurs ça me fais penser à quelqu'un. Tout de façon t'as rien raté.
    - OK merci Harry ! le remerciais-je 》

Je me dirigeais vers un coin de la salle et essayais le sort. Je n'arrivais même pas à produire un filet bleu.

《 - Tu veux que je t'aides ? elle chuchota Les nargols t'empêchent de réussir ton patronus. 》

La jeune fille était l'amie de Neville. Elle portait des boucles d'oreilles en radis et un collier avec ce que je crus être un bouchon de bièraubeurre. Elle était la risée des Serpentards et de quelques autres élèves d'autres maison.

《 - Je veux bien, merci. Au fait, tu t'appelles comment ?
     - Luna Lovegood ! répondit-elle au bout de quelques secondes. Pour pouvoir créer ton patronus, pense à un souvenir joyeux.
     - OK, j'essaie 》

Je mettais quelques minutes à trouver un moment joyeux. Il y en avait tellement que je n'arrivais pas à choisir. Je finis par choisir le précédent Noël. Ma sœur avait reçu une peluche et elle avait sauté de joie pendant environ 5 minutes.

《 - Spero Patronum 》

Un mince filet bleu s'échappa de ma baguette mais rien d'assez puissant pour se protéger contre un détraqueur. Je ressayais, mais je n'eus pas plus de résultats.
《 - Ton souvenir n'est peut-être pas assez joyeux ?! 》

Je lançais le sort une dizaine de fois avec un souvenir différents à chaque essai mais mon patronus restait incorporel. Ils finirent tous par sortir en petits groupes pour ne pas se faire remarquer.

Je croyais être seule lorsque Harry s'approcha de moi.

《 - C'est pas grave, c'est un sort compliqué et personne ni arrive du premier coup. A force d'entraînement tu y arriveras.
    - Merci Harry ! 》

Nous restâmes une demi-heure de plus à travailler et un semblant de patronus apparût.
Je descendais dans mon dortoir pour dormir tellement j'étais épuisé mais une fois dans mon lit, je n'arrivais pas à trouver le sommeil. Je dû m'endormir entre 1h et 2h du matin. Vive le dimanche !