Dark | Niall Horan (arrêt)

Chapter 5

(Je préviens: je vais commencer à faire des points de vues différent! Voila xx)

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Le néant. Le vide. Voilà ce que je suis. Rien. Je ne vie pour personne. Je ne veux plus revivre la sensation de trahison, de mensonge. Être rejeté, dévisagé, critiqué et toutes ces choses incessantes. Je ne veux plus rien ressentir. Pourquoi ai-je t'en de haine? Parce que l'on a abusé de moi. On c'est servi de moi comme étant la "bouffonne" de service. Je pensais être tombé sur des amis adorable, ce qu'ils laissés paraître. Mais au fur et à mesure du temps, je m'étais rendu compte que c'était tout l'inverse de "adorable". Je devais être aux ordres du chef de clan, vu que j'étais la plus jeune. Une soumise quoi. Il m'attirait des ennuis. Il me tirait vers le bas un peu plus chaque jour. J'allais sombrer je le sentais. Ce mec me faisait faire des choses débiles mais suffisante pour que les autres me déteste. Il me m'était tout le monde à dos. C'est quand j'ai quitté le groupe que je me suis aperçue que je n'avais plus d'amis. Ils m'ont tous reniés, même mes parents non pas compris mon comportement. Vous vous demandez peut être qu'est ce que j'ai fait pour mériter cela? Et bien tout simplement les choses les plus gamines. Comme par exemple, cracher dans les cheveux d'élèves qui passaient dans les couloirs, ou mettre des punaises sur les chaises, ou bien inventer une histoire juste pour causer une baston etc. Comme quoi les apparences sont parfois trompeuses. Depuis ce jour, je ne cherche plus un lien d'amitié, par peur d'être une nouvelle fois trahi ou utilisé pour faire des choses gamines. Être encore une fois l'accusée. Je me suis mise à ignorer toute personne. Garçon. Fille. Je me suis inventé cette barrière de sécurité.

Jusqu'au jour où une fille, un peu bizarre est venu me parler au self. Je ne m'y attendais pas. On était seule. Elle c'est assise et m'a salué. Comme ça. Comme si on se connaissait depuis longtemps. Quelque chose m'a poussé à lui répondre. Je n'avais pas trop osé, mais finalement je l'ai salué en retour. J'étais un peu timide et en même temps intrigué par ma réaction. Elle a réussi à briser ma barrière et quelque chose me disait que je pouvais avoir confiance en elle. Elle s'appelle Hannah. Je lui est dit mon prénom en retour. Bess. Hannah a l'air d'être un peu perdu. Quand on l'a regarde, on voit qu'elle ne représente aucun danger. Elle a l'air si réservé et inoffensive.  J'aimerais en apprendre un peu plus sur elle. Peut être que grâce à elle je pourrais reprendre une confiance en moi et me faire des amis et laisser le passer derrière moi.

Cela va maintenant faire une semaine que tous les élèves ont fait leur entré à l'université dont moi, bien évidemment.  J'ai réussi à négocier avec mes parents pour qu'ils me payent ma chambre universitaire parce que je n'en ai aucunement les moyens. Déjà que je me paie la nourriture et les bouquins, qui valent une fortune. Heureusement que c'est pour une année complète. Une année qui risque d'être longue. Très longue. Premièrement, parce que je n'ai rien à faire pendant mes heures de temps libre. Deuxiement, c'est que, quand on est seule, eh bien on ne s'amuse pas, mais apres tout je ne cherche pas à m'amuser ou même à avoir d'amis. Ou peut être une. Hannah. Les autres étudiants ne m'inspire pas confiance. Il suffit de regarder leurs attitudes, ou leurs apparences. On pourrait les classer par catégorie. En cinquième position, les "intellectuels". Ils n'ont aucune vie social, ils sont vingt quatre heure sur vinght quatre la tête dans leur livre et à mon avis ils connaissent déjà tout le programme de l'année. Ils ont des tenues très... spécial.  On va dire que se sont leur goût.  Ils portent toujours des vieux pulls en laine, avec des pantalons qui leur arrivent au dessus des chevilles, une coupe de cheveux plutôt ringarde et leur façon de parler datant du XVII ème siècle est vraiment ennuyante. En quatrieme position, les "footballeurs".  Ils sont toujour ensembles. Et contrairement aux intellectuels,  ils ne sont pas aussi cultivé. Leur conversation du matin? Foot. Conversation du midi? Foot. Conversation du soir? Foot. Bon ok j'exagère peut être un petit peu. Ils courent toujours après les jolies filles. Ils sont plutot mignons mais un peu narcissique à mon goût.