Chapter 6

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Je m'excuse énormément pour se retard. Je n'ai pas eu de temps pour l'écrire et j'etais en manque d'inspiration mais j'ai retrouvé des idées grâce à mes amies (qui se reconnaîtront en lisant cela). D'ailleurs si vous souhaitez me faire part de vos idées et votre imagination, dite le moi! :)

Je tenais à vous remercier pour les 1,2k de vues! Vous etes formidables!
J'aimerais beaucoup que vous laissiez quelques commentaires parfois pour que je sache si cela vous plaît ou pas :)
En tout les cas, merci beaucoup! xx

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(Pvd Hannah)

Je ne sais pas où je vais, mais j'y vais tête baissé. Tout s'emmêle dans ma tête. J'essaie de comprendre, mais rien n'y fais. J'ai besoin d'être seule et un endroit calme serait le plus approprié pour y réfléchir. Les cours venait de se terminer et le bâtiment était déjà bondé. Des étudiants sortaient de part et d'autre des couloirs, ne laissant que peut d'espace pour avancer. Je n'arrivais pas à mettre un pied devant l'autre sans même bousculer un minimum de personne. Bien évidemment en retour, j'ai eu le droit à des 《Tu peux pas faire attention?》, 《Putain, regarde où tu met les pieds!》 Ou encore des insultes et des soufflement de colère. Je ne cherche pas à leur répondre puisque, premièrement, je n'y suis pour rien s'il y a une masse d'élèves pressés de sortir de cours et deuxièmement ça n'en vaut pas la peine puisqu'ils ne m'écouteront pas. Pourquoi autant de colère pour si peu? Quand c'était moi qui me faisais bousculer, je ne repliquais pas. Je ne bronchais pas. Je n'insultais pas. Peut être parce que j'etais timide, que je n'osais pas, et que j'etais bousculé volontairement et que je ne pouvais rien dire étant la fille du lycée considérée comme insociable et pitoyable. Pitoyable.. ils me font pitié. Ils prennent les gens de haut, avec un regard noir. Tellement noir que tu n'ose pas répondre. Si tu ouvre la bouche pour riposter, sans n'était fini pour ta peau. Ils ne te lâcheront pas d'une semaine, cherchant des histoires pour te mettre tout le monde à dos. Tu sera devisagé à tord, pour une simple question de fermer sa gueule devant la personne prétendue "supérieur" à toi. La seule chose que je fais pour éviter ces sortes d'ennuis, c'est d'ignorer. Donc je ne leur adresse aucun regard, et je me contente de marcher. Et bien évidemment, comme si le ciel m'avais jeté un mauvais sort, je me retrouve allongé à même le sol. Quelque seconde avant même de tomber, une personne avait mis son pied pour que je m'étale au sol lamentablement. Une douleur se forma dans mes poignets suite à ma chute. Bien sûr, les jeunes qui passaient dans le couloir rigolés. Je ne vois pas se qu'il y à de drôle à voir quelqu'un tomber. Bon je l'admet parfois c'est assez marrant. Quand je me remis sur mes pieds, mes yeux tombèrent dans ceux océan du punk. Il ne rigolait pas, mais il avait l'air de se retenir. Un leger sourir au coin de ses lèvres le prouvé. J'ai honte. Je sens mes joues rougir tellement j'ai honte.

Je me suis mise à marcher le plus vite possible pour éviter qu'il ne vois ma gêne mais aussi parce que j'ai besoin de calmer ma colère. Quel bande de gamins. Ils sont à l'université et ils pensent encore à faire des croches pieds. Pathétique.

Je me suis dirigé vers un lieux qui me paraissait assez silencieux pour me concentrer et réfléchir: la bibliothèque ou CDI si vous préférez. Je crois que c'est l'un de mes endroits favori dans l'université. Le silence qui y règne m'apaise. Une fois rentrée, je m'inscris sur une feuille, indiquant le nom et la classe. C'est une preuve de montrer aux professeurs et documentaliste que l'on vient travailler ou se renseigner. Bon, tout le monde n'y travaille pas forcément. Il y a toujours un ou deux groupes de jeunes qui piaille ou qui parle comme s'ils étaient les seuls. Du coup, on persuade des "chuuuut" de temps en temps. J'ai pour habitude de me mettre vers le fond. Je suis cachée par des étagères et je ne me sens pas observée. Ces dernières sont assez hautes et larges, en bois, assez foncé. Elles y contiennent des livres vieux, comme neuf, et ces derniers sont classés par matières. Par exemple, l'étagère en face de moi n'est consacré que pour le droit. Celle derrière mon dos, pour l'économie. Entre chaque, une table y est placé. On peut s'y mettre à sept environ. La pièce est assez sombre,  elle ne possède que peu de fenêtres. Celles-ci sont placés du côté droit, à l'emplacement même où je me trouve.

Dark | Niall Horan (arrêt) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant