Ton adieu

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Sur le message, la femme ne sus lire les mots écrit a l'encre bleuté sur un vulgaire morceau de papier jaune parsemé de tache noir. C'était une lettre d'amour, même d'adieu. Sous le poids de la douleur, elle s'effondra par terre, tenant le bout de papier comme on s'accroche a une bouée de sauvetage. Elle s'avait. Nul le besoin de lire les mots qui se voulait réconfortant alors que le cœur qui les avaient écrit avait disparu. 

Que dirait-elle a son fils lorsqu'il reviendra de l'école? Comment peut on lui dire que l'une des personnes qui la mis au monde n'est plus sur cette terre? 

Elle refusait de le croire, pourtant elle avait su lorsqu'ils se son embrassée à la gare, comme à chaque fois il l'avait prévenue qu'un jour, il ne pourrait plus prendre ce train pour rentré auprès de sa famille. Ils savaient tout les deux, pourtant la femme resta la, assise a même le sol dans cette chambre devenue soudainement froide et vide. 



C'était un matin d'automne, les arbres coloré chaudement baignait dans les rayons d'un soleil levant. La, assise sur la balançoire branlante d'un cerisier, une femme habillé d'une robe brune et coiffé d'un adorable chignon blond observait le ciel matinale de ses yeux bleu. Un petit garçon habillé tout de blanc aux cheveux brun tout décoiffé vin offrir une étreinte a sa mère, il pris sa main en souriant et rigolant et força sa mère a se lever.

- Vite, vite! J'ai un cadeau pour toi!

La femme riait de son fils.

-Ou m'emmène tu comme sa petit ange?

Il lui répondit d'un rire et l'entraîna jusque dans la maison. la il lui demanda de fermer les yeux, ce qu'elle fis tout sourire. 

- Dit moi, quel est cette surprise petit ange?

Le petit garçon laissa la main de sa mère et parti sans dire mot.

-Surtout garde les yeux fermé maman!

Puis, elle n'entendit plus rien, juste cette impression d'être observé. Alors pour être sur, elle appela son fils.

-Gabriel? Tu est toujours la?

Rien. La jolie blonde s'apprêta a ouvrir les yeux quand quelque chose se posa sur ses lèvres, elle savait, alors pour savourer ce rare moment elle laissa ses yeux fermer pour s'imprégner de cette saveur qu'elle n'avait pas ressenti depuis plusieurs mois d'absence. Lorsqu'elle ouvrit les yeux et mis fin au plaisir, elle ne pus se retenir de sourire. Il était enfin de retour, pas pour très longtemps comme cela a toujours été, mais cela suffi a rallumer la flamme qui peinait a respirer sous les vents de peur quand il repartait.

-Tu savait que c'était moi?

Comme si elle voulait être sur que cela ne soit en aucun cas un rêve absurde, elle effleura de sa fine main les trait du visage de son homme. Serte les cicatrices c'était multiplier, mais il était le même.

-Même aveugle je pourrait te reconnaître.

Des larmes de joie, de tristesse et de soulagement surtout, commencèrent a se promener sur les joues blanches de la femme aux cheveux doré. Le grand homme, encore en uniforme, pris sa bien aimé dans ses gros bras musclé par les dur entraînements, pour tenté de la rassurer, d'apaiser ses peurs. Ils restèrent ainsi dans le silence jusqu'à se que leur petit bonheur vint les rejoindre dans leur étreinte. Cette fois encore il était rentré. 

Mais aujourd'hui, cette femme avait perdu l'amour de sa vie, le petit garçon avait perdu un père et la guerre avait perdu un soldat de plus. La veuve, toujours assise a même le sol dans sa chambre se remémorait tout les souvenir heureux de la famille qui habitait cette maison. Elle s'en souviendrait toute sa vie, mais elle a peur qu'un jour elle l'oublie, lui. Et ce n'est que quelques heures de pleures, de gémissement et de chagrins après, qu'elle lus la lettre les yeux rouge:



<< 15 octobre 1962,

A mon adorable Lydia.

J'aurais tant aimé que cette lettre ne te parvienne jamais, j'aurais préférer rentré à la maison pour revoir mes deux précieux amours. J'aurais tellement aimé, juste encore une fois, revoir ton visage d'ange, t'est cheveux d'or, j'aurai aimé te donner un dernier baiser et me perdre dans t'es yeux maritime. Et Gabriel, mon petit ange préférer. J'avais encore beaucoup de choses à apprendre au près de mon garçon plein d'énergie et doté d'une imagination débordante. J'espère qu'il gardera cette beauté toute sa vie, et que toi aussi, tu garde cette beauté malgré la douloureuse période que vous aller devoir vivre à cause de moi. A l'heure ou je t'écrit, l'ambiance ici n'est pas des plus joyeuse. Tout les soldats essaie d'écrire, de façonner, de crée un dernier adieu à leurs familles, leurs amis, leurs enfants ou même leurs voisins. Il est certains que quelques un d'entre nous rentrerons vivant de cette mission. Eux n'auront pas à faire souffrir leurs proches. Je suis désolé chérie. Tout ce temps tu ma donner la force de survivre et mon fils ma redonner le sourire dans les moments les plus horrible et douloureux de cette guerre rien qu'en pensant à lui. Mais cette fois, mon corps n'a pas obéis à ma volonté de rester en vie un peu plus longtemps. Mais sache que de là-haut, je vous protégerais de toute mon âme.  

Je T'aime fort Lydia.

Je t'aime mon grand garçon.

                                                                                                                                                            Charles.>>




COUCOU, Petite histoire trèèèèèèèèès courte mais que j'ai adorer écrire aujourd'hui a la volé ;)

A bientôt les louloups !

Et pour les fautes j'ai fait de mon mieux mais je pense qu'il en reste enormément....

C'était la petite note de l'auteur, portez vous bien!

La LettreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant