Grondement d'enfer, tonnerre qui déferle
La vague métalique et suraigu perce mes tympans
Par la fenêtre l'oiseau gris se pose
Et mes espoirs s'envolent.
Tu es là auprès de moi - pour la dernière fois
Le jour fatidique a sonné pour m'emmener
Ton regard se veut fort mais ton coeur vacille
De trop-plein prêt à emporter tes yeux en cascade.
Les miens, rouges, te déversent une pluie de sentiments ; 
Je ne veux t'abandonner mais je le dois
Ta main, je l'effleure de mon doigt
Tout comme ton âme a enlacé la mienne.
La sirène sort et je dois partir
Pour ne probablement jamais revenir.

Prose et autres versOù les histoires vivent. Découvrez maintenant