Fils d'Alpha suprême.

Et si l'hitoire recommance?

Mercredi Une semaine plus tard
Point de vue d'Alex
Je suis sur le canapé et je regarde les infos. Je vois que les morts s'empilent dans les deux camps. Je vois aussi de ma meute sur le sol. Les journalistes relatent nos exploits mais aussi nos défaites. Quand à moi je suis chez moi j'aurais dû être là bas depuis bien longtemps. On toc à la porte je ne me lève pas. De toute façon mes os ne sont pas du tout recoller et je ne peux pas me déplacer.
- Justin on a toqué tu peux?
- Ouais j'ai entendu j'arrive.

Il va ouvrir mais sort et referme la porte derrière lui. Je n'ai pas à savoir c'est ça que sa veut dire. Je prends mon portable et je regarde les réseaux sociaux. Je vais sur Instagram et les photos les vidéos sont les dernières mots des loups qui combattent. J'étends mon natel et la télé le silence. A oui depuis une semaine ma mélancolie a augmenté à 8000 pour cent. J'ai été cassé physiquement et mentalement mais je n'arrive pas à me remettre en selle. Je me couche sur le canapé le doc a dit que je devais garder la coque encore une semaine après celle-ci. Je regarde quel jour nous sommes le 26. Août... des larmes coulent de mon œil.
- Bonne anniversaire maman. Au moins tu ne vois pas le gâchis que j'ai fait. Je ne suis pas fait pour être Alpha suprême comment t'as fait à mon âge? Je ne suis qu'un raté le dernier que beaucoup veulent vivant. Je dois faire quoi?

Je ne l'avais pas vue ni entendu arriver. Je vois son regard qui est triste et désolé. Il ne doit pas être il ne peut rien pour moi. Justin vient vers moi il me prend dans ses bras. Il me dit
- Non tu n'est pas un rater et non tu n'as rien gâcher. Tu as même rallier des ennemis dans nos camps. Tu es fort pour tous les loups.

Je pleur dans son cou et il me caresse dans le dos. Pour me calmer. Comment maman a fait pour réussir en temps qu'Alpha suprême. Moi je n'y arrive pas. Je sans l'odeur de mon protecteur et cela m'apaise. Justin c'est pour moi un père, un protecteur celui qui a peur pour moi quand les autres ne voient pas ma faiblesse. Il me propose
- Si on sortait toi et moi?
- Je n'ai pas le cœur.
- Ok t'as pas le chois de prendre l'air ça fait plus de deux semaines que tu es enfermé alors je t'oblige à sortir de la maison.
- Non pas envie...

Finalement je n'ai pas le chois je me retrouve dehors sans trop comprendre ce qui vient de ce passé. Justin me dit
- J'ai un truc à aller voir et sa ce trouve à Fribourg. Je ne vais pas te laisser tous seul donc tu viens.
- Pas cool là...
- Arête de faire la tête regarde il fait beau.

Il a raison mais moi ce que je vois c'est les mort qui s'empilent loins de moi. Justin me met dans la voiture et ouvre les fenêtres pour que l'aire de l'extérieur entre. Quand on se trouve sur l'autoroute je renifle toutes les odeurs c'est incroyable comment ça m'a manqué. On arrive à la ville Justin ce gare et il me sort pour me mettre sur une chaise roulante. Il avait déjà prévu le coup. Je le regarde d'un aire pas content. Il sourit je sais qu'il est fière de son coup. Juju me balade dans Fribourg on arrive vers la gare mais il part dans la grande rue où ce trouve tous les magasins. Il tourne ensuite dans une ruelle et enfin vers un vieux bâtiment. Il se stop devant je lui demande
- On fait quoi ici?
- Je viens voir la propriétaire si elle tient toujours son contrat ou si je dois la tuer.
- Ça à le mérite d'être clair.
- T'as pas idée fils.

Il sonne à la porte et une dame d'une soixantaine d'années lui ouvre. Elle a peur je le sans d'ici. Il me dit
- Alex je reviens dans deux minutes.
- Je ne peux pas bouger alors je t'attends.
- Non enfaite tu va venir avec moi. Gretsel tu peux mettre la chaise dedans.
- Oui pas de soucis.

Justin me prends et la femme prends la chaise. Une fois à l'intérieur il me repose dessus. Je vois des enfants dans le haut de l'escalier ils sont curieux. Quand ils remarques que je les regarde ils filment comme des petite souris dans le haut. Justin les a aussi vue et ils n'est pas du tout content. C'est qui cette femme?
- Vous avez recommencé?!
- Non ils sont venus de leur plain gré.
- Bien sûr... au moins dite moi qu'ils mangent à leur faim.
- Les mois sont dure je les nourris comme je peux.