Savez vous ce que l'on trouve, au dela des montagnes au loin ? À vrai dire, personne ne le sait. Beaucoup ont spéculé, émis des théories plus ou moins possibles bien sur.
Dont une qui a particulièrement retenu mon attention :
L'on dit qu'au dela des montagne, se trouve une terre, que nul ne peut fouler, mis a part trois personnes. Les personnes les plus pures que l'histoire ne portera jamais, a l'image de cettr terre, une terre si pure et belle que ne serait-ce l'imaginer équivaut a la polluer. Cette terre donc, qui ne porte pas de nom, car aucune ne pourrait exprimer sa beauté, verrait en elle plusieurs fleuves. Deux pour etre plus précis portant les noms de Perindhall et Sgeindhall dans cet ordre. Ces fleuves délimitent cette terre en trois zones distinctes, la dernière zone se voyant limité d'une mer sans fin et vierge de toute terre.
Sur ces terres se trouvent des créatures toutes plus fantastiques les unes des autres. Nous pouvons citer des chevaux a deux et huit pattes ou encore des oiseaux a six ailes. Bien plus de créatures que l'imaginaire mortel ne peux créer.
Sur la premiere partie de terre, entre les montagnes et le fleuve Perindhall, se trouve une clairière unique. Sur cette clairière vivent tout les animaux terrestres, allant de chevaux a deux et huit pattes, des chats de trois mètres de haut, ou des éléphants de la taille d'une souris. Mais encore deux animaux, qui se démarquent bien des autres, car ils s'agissent d'un loup et d'un cerf, mais ceux-ci etaient uniques. Le loup etait en Or, pas couleur Or, mais bel et bien dans ce materiau noble. Il semblait surveiller et protéger ces terres. Son nom est logghirr. Le cerf quand a lui, est en diamant, avec un coeur en rubis, d'une beauté sans pareil, son nom et Eiktinir. Ce loup et ce cerf, se ressemblaient, tout en s'eloignant, le loup représentant la protection de cette terre, et le cerf sa prospérité.
On dis meme que le coeur en rubis de ce cerf permit a tout les animaux vivant sur cette terre de ne pas avoir a se nourrir. Evitant que le sang ne coule, et rende la terre impure. Pour finir, il est dit qu'une femme vis avec eux. Elle est la reine de ces animaux, vivant en harmonie avec eux. Elle etais parfaite si les hommes devaient la decrire. A vrai dire, tellement parfaite que si un humain, impur devait la voir, ils en perdaient la vue tellement elle etait belle. Sa longue chevelure noire lui descendait jusqu'au hanches, une peau soi disant d'une paleur extrême, a sa peau etait tellement blanche et reflétait le soleil tellement qu'elle brillait plus que celui-ci a nos yeux. Pourtant, elle n'aveugla point les bêtes vivant avec elle, qui l'approchaient et l'aimaient.
C'est ainsi qu'était la première terre.
La seconde terre, se trouvant entre les fleuves Perindhall et Sgeindhall était bien différente de la première. Constitué d'une immense foret avec un pic montagneux a son sommet. Les arbres et le pic etaient tellement hauts qu'aucune créature terrestre ne pouvait y vivre. Cette terre etait l'habitat des animaux volants. Mythique, mysterieux ou encore inconnu, il existait la aussi bien plus d'espèces que l'imaginaire du plus fou des homme ne pouvait imaginer. On y trouvait des pies a quatre ailes, des guêpes de trois mètres, ou encore un condor avoisinant les dix centimetres. Tous ces êtres vivaient en harmonie la plus totale, se nourrissant pour absolument toutes les espèces des feuilles des arbres qui les entouraient. Ces arbres eux meme étaient spéciaux, haut de presque vingt mètres, et avec plus de dix mètres uniquement de branches et de feuilles, ces arbres ne semblent ne jamais s'épuiser. En effet, meme si ils sont totalement dépouillés de leur branches et feuilles a la fin de la journée, le lendemain toutes ces feuilles et branches ont complètement repoussées, et d'autres se sont ajoutées. On dit meme qu'une sève, voir du sang divin coulent dans ces arbres.
Dans cette terre, trois êtres la encore, se démarquent des autres un Aigle, grand de plueisurs mètres, au plumes d'obsidienne, un colibri de quelques cinquante centimètres d'une matière inconnue, brillants de toutes les couleurs, comme si chaque plumes etaient un arc en ciel unique. Ainsi qu'un être humanoide, ni homme, ni femme, a la peau blanc cassé, avec un cristal au niveau de son coeur. Ces trois êtres représentent l'équilibre entre la noirceur, l'assouvissement des besoins personnels, et la bonté d'offrir et de partager aux autres. L'Aigle d'obsidienne, nommé Haersvelg représente la noirseur et l'assouvissement des besoins personnels en priorité. Il est le premier a commencer, chaque matins a manger les branches des arbres, et aussi celui qui finit la derniere branche. De son coté, le colibri Heminski passes le plus clair de son temps a nourrir les animaux, mangeant uniquement ce qu'il lui faut pour ne pas mourir. Et au dommet du pic, se trouve l'être humanoide. Il ne possède pas de cheveux, ni aucun poil, ni meme ongles, sans compter l'absence d'attributs génétiques. Cependant il possède un cristal encré dans son torse, un cristal bleu et blanc, avec des fluides bleus tres sombres et blanc, se melangeant comme le feraient eau et huile, formant differentes formes sans jamais fusionner. Ses yeux sont tout les deux d'un jaune brillant, un jaune doré, veillant avec douceur et droitesse a cette terre.
Voici comme l'on raconte cette seconde terre.
La dernière terre, entre le fleuve Sgeindhall et cette mer était la plus complexe a décrire, il s'agissait d'une bande de terre, d'un mètre de profondeur, trouée tel un fromage. Sous cette bande de terre se trouvaient un lac souterrain et extérieur sans fin, et avec une profondeur illimitée. L'eau de ce lac était tellement claire et transparente que l'on y voyait a plusieurs dizaines de kilometres de profondeurs, jusqu'a ce la lumière ne pu aller plus loin. Et cette terre, vous l'aurez deviné abrite l'ensemble des créatures marines et aquatiques, on peut y trouver requin, orque nagant paisiblement avec des sirènes et baleines, mais aussi des créatures telles que le Léviathan. Toutes ces créatures vivent en parfaite harmonie.
On y raconte, sur cette terre, que la terre au dessus du lac a été créé pour servir de régulateur, afin de ne pas importuner les poissons d'eau froide ainsi que tu les poissons d eaux chaudes.
Parmi ces créatures marines, ce sont la encore trois qui se démarquent. Un homme, une carpe, ainsi que le Léviathan. La carpe etant d'ailleurs en bois, elle représente un eternel travail, un acharnement pour progresser. Le Leviathan, qui est en lapis-lazuli, représente au contraire le laisser aller.
La carpe par son activité incessante et le Leviathan par son calme et son repos eternel. Cependant, ces deux créatures représentent aussi la force incarnée, la protection du territoir et la suprématie du Léviathan en complément du travail incessant de la carpe, de sa progression eternelle, mais pourtant si faible.
Je vous ai aussi dis qu'un homme vivait avec les bêtes marines, en effet. On le decrit comme un grand homme fort, a la peau basanée, qui possède selon les dire des cheveux courts, blonds ainsi qu'une barbe qui ferait jalouser tout les hommes. Il vit sur le couvercle de terre de ce lac, une lance a la main, alors qu'il ne chasse pas. Cette lance n'es dailleurs point tranchante, et lui sers a communiquer avec les animaux. Il est une incarnation de la sagesse et est respecté de tout etre sur cette terre comme source de savoir inépuisable.
Comparé a lui, nous humains sommes comparables a un insecte, auquel on inculquerai les lois de la relativité en attendant un retour de sa part.
Ces trois terres étant présenté, je peux vous demander, que pensez vous qu'il se passerait, si nous, arrivons sur cette terre ?
Pensez vous que nous pourrions la dompter ? Et si est-ce une bonne chose ?
Je n'attend pas de réponse, mais reflechissez-y. Ce jour n'arrivera jamais, bien entendu, mais si il doit arriver, que se passera t'il ?
Pour etre franc, rien ne changera. Car c'est deja le cas, chacun d'entre nous a conquis ces terres. Mais tres peu l'ont encore remarqué et compris.
Maintenant, je vous repose une question.
Que pensez vous que cela changerais, lorsque vous vous rendrez compte, que vous avez conquis ces terres ?
Je vous laisse y réfléchir, car il est temps pour moi de partir.
