Mangas X Reader / Oc { TERMINER }

Uta ( TG ) x Reader [GOULE]

Commande de : @YoutubeXManga et nono3558

-_-_-_-

- Uta ?

- Quoi T/P ? , soupire-t-il en te regardant.

- Tu as bientôt fini ?

- Comme je te l'ai dit il y a cinq minutes, je n'ai pas fini. Si tu as si faim que ça, tu n'as qu'à partir chasser. , dit Uta en soupirant.

Uta reprend son travail alors que tu gonfles tes joues et que tu te mettes à bouder.

- Mais, viens faire une pause !

- Je ne peux pas T/P. , répond simplement Uta en te lançant un petit regard avant de continuer de faire le masque que lui avait demander une cliente.

Tu fais les cents pas alors que Uta continue son travail.

- Tu veux bien arrêter de bouger ? , demande Uta sans quitter des yeux le travail qu'il était en train de faire.

- Non, je veux que tu viennes chasser avec moi !

- Je ne peux pas .

- Uta ! S'il te plait !

- C'est non T/P.

Tu soupires. 

- Bon, très bien, je vais te laisser.

Tu te lèves de ta chaise et sors de la boutique d'Uta. Il ne voulait pas venir et bien, tant pis. Tu allais chassé toute seule. Alors que tu allais partir chercher ton repas, ton ventre se noue pour tu-ne-sais-quelle raison et ta faim disparait. Tu étais anxieuse ? Non ça ne devait pas être ça. Tu ne comprends pas trop. Tu rentres chez toi vu que maintenant, tu n'avais pas de raisons d'y aller donc autant rentrer. Quand tu fus chez toi, tu t'allonges sur le canapé de ton appartement.

- C'est un ennuie... , murmures-tu en regardant ton plafond blanc.

Ton cher ami ne voulait pas de toi. Tu gonfles les joues comme tu faisais étant enfant. Tu regardes l'heure. Comme pourrait dire ta mère, c'était l'heure de se coucher pour la petite fille. Maintenant, tu n'en étais plus une mais tu voulais en redevenir avec tes parents à tes côtés. Tu ne pouvais pas remonter le temps malheureusement. En pensant aux souvenirs de ton enfance, cela te rend nostalgique. Tes parents sont morts à cause des chasseurs de goules. C'est à ce moment là que tu avais fait la connaissance avec Uta. C'était l'enfant d'une amie à ta tante, celle-ci t'avait repris à la mort de tes parents. Vous étiez toujours ensemble et c'était beau à voir.

- Bon arrête de penser à tout ça ! , te dis à toi-même.

Tu te lèves de ton canapé. Tu n'allais quand même pas rester là à te morfondre ! Ce n'était pas toi ! Tu regardes ton appartement. Il méritait un bon coup de ménage ton appartement et de rangement !

Pendant toute la soirée et une bonne partie de la nuit, tu fais quelques rangements avant de te dire que tu pouvais bien attendre demain matin vers huit heure pour faire un peu de bruit avec ton aspirateur. Oui, tu avais une vie pas très palpitante mais bon. Si on t'aurait demandé si tu voulais avoir une vie remplit de choses mouvementé à une vie calme et sereine, tu aurais pris la deuxième option.

L'aventure s'était très peu pour toi. Tu aimais en lire mais tu ne voulais pas que ça t'arrive. Tu ne te comprenais pas toi-même sur ça. Toutes les personnes que tu côtoyais que ce soit tes amis ou tes collègues de boulot te disaient la même chose : que tu étais étrange, bizarre. Pourtant, tu n'avais rien de bizarre. Juste que tu pensais différemment des autres. Où était le mal ? Tu le voyais pas.  

Alors qu'il était presque cinq heure du matin, quelqu'un toque à ta porte d'entrée. Au début, tu te demandes qui pourrait vouloir te voir à cette heure. Tu commences à t'inquiéter si c'était les chasseurs de goules. Tu déglutis et vas ouvrir la porte.

- Uta ? , demandes-tu quelque peu surprise.

Celui-ci ne te répond pas et entre alors. Tu fermes la porte et le suis dans ton salon.

- Uta ? Tu m'expliques ce que tu fais là ?

- J'aimerais te parler et m'excuser en premier lieu.

Tu le regardes.

- Pourquoi ? Il me semble que tu n'as rien fait.

- C'est bien ça le problème où je m'excuse ! C'est que je n'ai rien fait ! Je n'ai fais que t'ignorer ou de te dire d'arrêter.

Il baisse un peu la tête.

- Je m'excuse de ne pas...

Tu viens l'embrasser doucement pour le faire taire.

- Tu sais très bien que je te pardonne. Je t'aime Uta.

- M-moi aussi T/P. , répond-t-il avec quelques rougeurs.

Il vient t'embrasser en retour.