Chapitre 9 :

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Point de vue d'Ellie :

Jours après jours, j'observais Rhys se détruire un peu plus à l'alcool, immobile sur son canapé. Je commençais à me résonner, en me persuadant que je ne pouvais plus rien faire.

J'ai assisté à mon propre enterrement. Je n'ai rien ressentis. J'en ai assez de la tristesse des gens. J'en ai assez vu ces dernières semaines.

Point de vue de Rhys :

Après quelques heures de route, je décidai enfin de m'arrêter devant une boite aux lettres.

Je pris soin de glisser l'enveloppe dans la bonne boite, et commençais à me poser des questions. Et si j'avais fais le mauvais choix ? C'était trop tard, de toute manière.

Encore quelques heures interminables sont passée dans cette voiture, avant que je décide de m'arrêter.

J'arrivai devant un petit hôtel, dont les murs était d'un blanc pâle noircissant, sûrement à cause de l'usure.

Je franchissait la porte, et marchait jusqu'à l'accueil où une petite dame brune s'empressait de fermer son jeu de solitaire.

"-Bonjour? Me disait-elle d'une petite voix assuré

-Bonjour, est ce qu'il vous reste une chambre s'il vous plait ?
-Hum, attendez je vous pris."

Elle sorti une feuille, où étais écrit chaque numéro de chambre, et fit mine d'en chercher une pour moi, malgré le fait que la feuille ne soit pas remplie.

Elle me tendis une clefs, et m'indiqua la chambre numéro trois.

Je m'installait sur le lit, et lu le journal. Les résultats du petit club de foot de la ville, la maison de retraite s'initiant à la technologie, et une naissance. Je ne sais pas où j'ai atterri, mais ça doit être bien barbant ici. Le nom de la ville m'étais inconnu.

Je sorti des somnifères de mon sac.

J'étais prêt.

Je voulais quitter cet endroit à jamais.

Je laissai glisser les comprimés dans la paume de ma main, et les contemplait.

J'allais enfin mettre un terme au cauchemar que je subi.

J'observais le lieu qui m'entourait. Un petit hôtel miteux et sans aucun charme.

Ma main se dirigeait vers ma bouche.
Adieu, adieu cette vie gâchée.

Soudainement, quelque chose m'entourait le poignet, et le tirait violemment. Les cachets ont volés à travers la pièce, atterrissant de l'autre côté sur la moquette grise. Je levais la tête.

Mon dieu, c'est... C'est pas possible ?!

Pour commencer, j'aimerais vous remercier d'avoir lu, et n'hésitez pas à voter, ou commenter, je ne mord pas !
Je tiens à m'excuser pour ma grande absence, mais j'étais en panne d'inspiration, dans une impasse, et je n'avais pas beaucoup de temps à m'accorder pour écrire.
Enfin bref, je sais ce que vous devez penser de moi, que je suis une sadique, une méchante de m'être arrêtée , et bien sachez que... Oui j'en suis une !
Que pensez vous qu'il va arriver par la suite ?
Comme d'habitude, j'espère de le chapitre vous à plus, et je vous souhaite une bonne journée/soirée/nuit ! :)

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