Mon corps est usé par la tristesse de ton absence.
Le deuil est un processus qui m'anéantit sous un regard livide et froid.
C'est une pointe saillante qui me dévore vivant.e. Je suis comme paralysé.e devant cette souffrance inouïe. Je suis aveuglé.e par cette saveur noire de la mort, muet.te par la crispation de mon cœur...
𝐍𝐄́𝐀𝐍𝐓
C'est un bien joli mot pour décrire cette crevasse luciférienne dans laquelle je suis tombé.e, qui me séquestre et m'emprisonne.
Mtenshino