Chapitre 2 mon nouvel ami

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Aujourd'hui je me réveille comme tout les matin. Mais la c'est différent j'ai un nouvel ami, un nouvel ami! vous rendez compte? ça ne m'étais pas arrivée depuis bien longtemps!
-mmmm... mouaaah je suis tellement fatiguée. Tu n'est pas fatigué karumé, karumé, KARUMÉ ou es-tu?
-je suis la, calme toi tout va bien. Me dit-Il en sortant de la douche. Tu n'es
pas encore levées? Mais tu vas être en retards!
-non on commence à 9h et il est...
HAAAAAA IL EST DÉJÀ 8H 45. Criais-je en sautant de mon lit en pyjama, les cheveux en pagailles et ma tête, je ne vous parle même pas de ma tête! Je part à la douche, me sèche et m'habille. En suite nous allons prendre nôtre petit déjeuner avec le reste des pensionnaires que je n'avais d'ailleurs jamais vu. Nous arrivons dans une grande salle avec une gigantesque table au centre de la pièce. Tout les élèves étaient assis, il ne manquait plus que moi. Quand je passe devant les autres élèves pour aller jusqu'à ma place, j'entends des chuchotements et des rires moqueurs, je croise des gens qui me dévisagent et qui me montres du doigt. Je n'y prêtais pas vraiment attention car j'avais déjà l'habitude, dans mon ancienne vie (cet a dire avant de venir ici) quand je passais dans la rue, des gens criaient: AU MONSTRE, IL Y A UN MONSTRE, puis quant ils ont commencé à me connaître et à me voir souvent ils criaient: L'ANOMALIE FAITES ATTENTION IL Y A L'ANOMALIE.
-reste forte, tu es fortes Aku. Pensais-je en essayant de m'en convaincre.
-HEY aku viens la il y a une place. Me cris karumé en me faisant un signe de la main.
Tous les élèves reste bouche bée, car oui je me suis faite un ami même avec des petit trous sur le corps. Quand je passe devant Oroïnu elle me lance un regard de tueuse comme pour me dire pas touche il est a moi, mais bon je n'ai pas vraiment l'intention d'y toucher.
-c'est bon je te le laisse, je ne vais de te le voler ou quoi que ce soit. Pansait-je. Je m'assoie à côté de karu.
-salut, finalement tu as eu vite fait de prendre ta douche.
-oui j'ai fait aussi vite que j'ai pu. Je n'ai pas loupé le petit déjeuner j'espère?
-non la cuisinière est entrain de servir les gens avant nous. La cuisinière passe à côté de moi et ne me sert pas, elle passe directement à Karu.
-madame Larni, je crois que vous avez oublié de donner de vos délicieux beignets à Mlle Akarunoshiga. Dit karu pour essayer de me défendre. Mais la cuisinière l'ignore et ne me donne pas de petit déjeuner. Je baisse la tête et je me dis que finalement ça ne va pas être si différent. Je cours dans ma chambre en pleur les mains sur mes yeux.
-de toute façon tu es nul, tu ne pourras jamais vivre ou faire quelques choses sans qu'on ne te fasse un commentaire. Pansait-je En me vautrant dans lit maintenant trempé. Karu entre dans chambre et viens me voire pour me demander si tout vas bien «nonnnnn» je lui répond en versants des larmes de joie par ce quelqu'un (karumé) était venue voir si j'allais bien, et pour moi ce n'est pas rien.
-tu viens on vas en cours, demain je te rapporterai un bout de mon petit déjeuner, ok?
-o... oui d'accord. Nous partons pour aller en classe et nous descendons les plus de deux cent marches d'escalier qui nous séparent de la salle. J'entre, et comme d'habitude: des chuchotements etc...
-comme vous l'avez évidemment remarqué, nous avons une nouvelle pensionnaire.
-présentez vous Mlle. Me dit le professeur de français M. Ekunan.
-bonjour, je m'appelle Akarunoshiga et j'ai 16 demain. Cette présentation était très courte je l'avoue mais je crois que
Ni eux ni moi n'avions envie que ce soit long. M. Ekunan me dit d'aller m'asseoir à côté de Karumé.
Vers le milieu du cours une alarme se met à retenir et la directrice se met à parler aux micros disposés un peut partout dans l'établissement.
-ceci n'est pas un entraînement, veuillez vous mettre en rend et sortir dans le calme et en vitesse. c'était la grande panique, tout le monde criait et courait dans tout les sens. Une fois tous dehors, nous remarquons que les pompiers sont entrain d'arriver. J'en déduis donc qu'il y a le feu. Mme la directrice se fait bombarder de questions: que se passe t-il, pourquoi y'a t-il les pompiers, etc...
-ON SE CALME, C'EST JUSTE UN PETIT FEU DE RIEN DUTOUT. Nous dit Mme la directrice aussi stressée que tous les autres élèves. Les pompiers éteignent le feu et repartent comme ils sont arrivés, sauf que là le feu est éteint. Tout le monde est rassuré et retourne en classe. Moi en revanche, je ne suis pas du tout rassuré.
-qu'est-ce qui a bien pu déclencher le feu, Je vais découvrir quoi. Pensais-je. Je vais donc demander à Karu de m'aider à le découvrir. Après les cours je demande à Karu de me suivre la où le feu a commencé, c'est-à-dire dans la salle des professeurs. Le seul problème c'est que on ne va pas pouvoir entrer comme ça, il va falloir qu'on s'y introduises,
-cette nuit nous établiront un plan pour pouvoir rétablir la justice. Chuchotais-je à Karu. A dix-neuf heures nous allons manger et je parie que je ne vais pas non plus avoir le droit au même repas que les autres. Au moment où la cuisinière me sert la même chose que les autres je me demande vraiment ce qu'il se passe. Elle me dit que le repas du soir est le seul repas où j'ai la même nourriture que tous le monde. En même temps je suis heureuse et... en même temps je suis triste que ça n'est pas vraiment changé. Mais bon le repas du soir c'est la que on mange les meilleurs choses, la par exemple nous Mangeons des hamburger, je n'en n'avais jamais mangé n'y même vue de ma vie. J'avoue que c'est vraiment très très bon. Quand nous avons finit de manger. En plus par chance comme demain c'est samedi Oroïnu fait une soirée pyjama avec ses amies. Nous montons dans la chambre et nous commençons à faire le plan. A une heure du matin nous avons enfin fini notre plan, et nous nous couchons car demain n'allait pas être une journée facile.

A.A.A.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant