Jasmeen-. Notre amour est mort

09

Elle est belle et elle bombe pas

jasmeen.

C'était Zineb, elle était habiller d'une robe longue en satin.

Zineb : Salut Jas ! Viens rentre c'est chez toi quand même.

Moi : Salam belle gosse, *j'entre enlève mes chaussures*

On va au salon je dis salam à un peu tout le monde. Y'avais Samir, Yanis, Bilal, Jawad, les parents à Zineb et ma mère.

Zineb : Ca va ?

Moi : Oui ça va et toi ma belle ?

Zineb : Très bien le fiançailles s'approche à grand pas j'ai hâte vraiment.

Moi : Kheir InShaAllah, j'ai hâte aussi.

Zineb : Vraiment, je l'aime de tout mon coeur ton frère.

Moi : Lui aussi il t'aime beauté.

Elle est trop mignonne cette fille, elle à 21ans d'ailleurs et elle à un coeur remplit d'amour à donner.

Avant je la détester, je sais pas pourquoi en plus.

Zineb : Il travail au garage en plus j'suis contente pour lui.

Moi : Oui, il m'avait dit. C'est bien franchement.

Zineb elle travaille à la crèche avec les enfants elle à toujours aimé les petits. Je supporte pas les pleurs d'enfants moi, vraiment sa me met hors de moi. Leurs pleurs là, c'est pour moi insupportable.

Yanis : Bref, moi c'est pas j'vous aimes pas. Mais voilà bisous.

Personne le cala en plus j'suis morte de rire, même ma mère elle savait même pas il exister j'en suis sûr.

Zineb : Alors sinon toi t'a pas un copain zehma ?

Moi : Non, pas pour l'instant. C'est ma priorité.

Menteuse que je suis. Bref le temp est passer assez vite en leurs compagnie, on à bien rigoler bien manger et voilà toute bonne chose à une fin.

21h

Maman : Bisous benthi ! Fait gaffe sur la route avec Samir et Zineb.

Moi : T'inquiète maman.

Je sort en compagnie de Samir et Zineb, Samir va la déposer chez elle c'est pour sa qu'il vient.

Moi : Zineb ?

Elle était de côté passagers donc elle se retourne.

Zineb : Oui ?

Moi : Ta choisis tes robes pour le fiançailles ?

Zineb : J'ai mon idée parce que t'sais j'suis allée voir Maïssane pour les robes et j'en ai trop qui m'ont tapées dans l'il.

Moi : Ouais, et toi Samir ?

Samir : Nan j'ai rien regarder j'men fou un peu, je le ferais le jour même.

Moi : Vas-y ta rien compris à la vie toi j'te jure.

Samir : Ca y est toi tu croit on va au festivale de Cannes ?

Moi : Bref.

Il me dépose chez moi, je leur dis Salam et sort de la voiture, je traînais grave les pieds en même temp j'était sur mon téléphone. Je répondais à quelques messages par-ci, par là quand je bouscule quelqu'un. Je relève ma tête et j'aperçois Wassim.