Nous les soeurs 2.2

Chapitre 3

Arriver à la prison je savais où aller, ce n'était pas la première fois que j'allais lui rendre visite. Depuis qu'il était en prison j'ai été le voir 2 ou 3 fois. Je ne regrette pas d'y être aller parce que à chaque fois ça me confirmais que je ne l'aimais plus et que de me tenir loin de lui était la meilleur décision que je ne pouvais pas prendre. Arriver au gardien je lui informe la raison de ma présence en mansonnant le nom de la personne que je viens voir et en m'identifiant. Il confirme en prenant ma carte d'identité que je suis belle et bien celle que je prétend être et regarde sur son ordinateur si Xavier à réellement le droit à de la visite aujourd'hui et si je fait partit de la liste des personnes autoriser à le visiter. Puis une fois toutes les confirmations de base faite il me demande d'enlever mon sac de le mettre dans une boite et de mettre aussi tout ce qui ce trouve dans mes poches dans une autre boite, un peu comme à l'aéroport. Déjà préparé à cette étape j'avais mise dans mon sac tout ce qu'il se trouvait dans mes poches. Puis il m'invite à passer un portail qui détecte le métal et à tendre les bras, mains vers l'avant, paume vers le haut pour y passer un détecteur. En passant le portail celui-ci émet un bruit, le gardien assis derrière le bureau me demande de reculer et de repasser pour voir si il va sonner de nouveau, ce que je fais. Il sonne de nouveau disant au gardien de me fouiller. Je me demande si j'ai bien enlever tout ce qui était dans mes poches et c'est alors que je me souviens que ce matin quand je me suis habiller je n'ai pas penser à mettre un soutien gorge sans anneau de métal, c'est donc probablement cela qui sonne, je le sais parce que la première fois où j'étais venu j'avais fais la même erreur. Je recule d'un pas et tend les bras de chaque coté de mon corp. Un des gardes me passe un détecteur partout le long de mon corp et de mes bras, la procédure normal. Tout est correct je peux entrée dans la prison. Je suis escorté par un garde jusqu'à une salle. Le monsieur me fais peur. Il est syper grand et musclé comme un réfrigérateur, non je dirait que lui on pourrait plus le comparé à deux réfrigérateurs tellement il est large et musclé. En plus il a sur ça ceinture différents objects de torture pratiquement. C'est l'habituel ensemble que chaque garde tiens à sa ceinture au cas où il y aurait un problème avec un détenu. Tous les gardes que j'ai vue avaient cette ceinture, mais sur lui je ne sais pas ça me fait vraiment peur. Pour ajouter à ça taille en hauteur et en largeur, il a sur son visage une grosse barbe longue et menu cachant la moitier de son visage se qui donne pour effet de refermer son visage et de lui donner un aire encore plus méchant. Il prend une posture à faire peur en plus et pour finir il ne parle pas, j'ai pourtant essayer de discuter avec lui comme je le fais normalement, mais il est glacial comme de la glace. Je lui ais dit bonjour tantôt et j'ai eu aucune réponse. Puis j'ai essayer quelque fois d'en savoir un peu plus sur lui, mais j'ai rien eu en retour. Finalement puisqu'il me faisait trop peur j'ai laisser faire. Je ne voulais vraiment, mais vraiment pas le mettre en colère, car si il se décide à me faire une petite pichnotte je meurt ou je perd un membre de mon petit corp de fille de 20 ans sans muscle. Nous arrivons à la fameuse salle où m'attend déjà Xavier. Quand je le vois mon cœur commence à s'emballer. Je veux le détester, je veux l'oublier lui et mes sentiments, mais je n'y arrive pas. J'entre dans la pièce suivis par le gardien qui ferme la porte et reste devant pour la surveiller. Xavier s'approche de moi. Ces yeux sont toujours aussi beau. . .

Xavier : Ali je suis content que tu ais pus venir.

. . . Ces yeux sont toujours aussi, mais ça ne change rien à ce qu'il a fait.

Moi : Je ne suis pas venu parce que je le voulais, mais parce que je devais et je te le répète, arrête de m'appeler Ali.

Xavier : Désoler, c'est juste qu'à chaque fois que je te vois tu me rappelle tout ce que j'ai vécu de merveilleux avec toi.

Moi : Xavier je ne suis pas venu ici pour parler du passé, mais du future alors viens en au point.

Xavier : D'accord, viens t'asseoir.