Poissons D'acrylique
Elle peint des poissons d'acrylique Elle en peint des mélancoliques
Chloé est très belle. Chloé est très douée. Chloé est très appréciée. Mais elle n'est pas très sage. Car Chloé a un double visage.
Arès est un adolescent qui, un jour, se tait. Son mutisme désempare ses proches qui finissent par le délaisser, laissant le jeune homme face à son propre silence. Et comme Arès a abandonné les mots, la peinture devient sa façon de s'exprimer, bien que personne ne sache décrypter ce qu'il dessine. Personne, sauf Ève...
Ce n'est pas facile, les relations humaines, Surtout pour un petit garçon qui, dans sa tête, n'a pas vraiment de facilité pour se faire des amis. #156 dans Nouvelles (04.07.2017) © Je suis un paradoxe | 6 Septembre 2016 collection « Astéroïde »
Stan et Karl sont deux garçons dont l'état d'esprit et la façon de voir le monde les opposent entièrement. Mais ils sont liés par une amitié tellement forte. Merci à @MyWorlsIsYours_ pour la couverture.
Donc voici un petit recueil de textes que j'ai écrit il y a un bon moment déjà et que si un jour ça me prend, je compléterais. Si quelqu'un passe par là Bonne lecture !
« mais iphigénie, eux ils brillent, et toi tu t'éteins comme une étoile qui ne parvient plus à s'allumer » © mourire | janvier 2018
chloée est belle. chloée est aimée. chloée est heureuse. chloée est gentille. chloée est réputée. chloée est sociable. et puis il y a anna, et anna est plutôt fade © mourire | mai 2016
judi c'était tout, mais tout ça devient trop vite rien. © mourire | octobre 2017
Poems I've written which reflect the feeling and emotions of mental illness. For those trying to understand or just wanting something to read. Mental illness is hard to explain but I've managed to put it into words... (Some of the poems I may have already published singularly but some I haven't so anyway... hope you...
poetry by a person that's afraid of people. 12/23/15- #1 in poetry
"this is your kind of story. no one is the good guy-- no one is the bad guy-- the blame shifts from monster to monster and in this place everyone bares their teeth." [featured. highest ranking: #6 in poetry.]
on s'sourit parce qu'on pleure, et on pleure parce qu'on s'meurt (mais on ne veut pas mourir, aidez-nous, s'il vous plait) © mourire | mars 2018 ps; quelques emprunts d'mots et d'jolies phrases à fauve
On dit que les amoureux des livres ont une imagination débordante...Nicole en a une légèrement encombrante. Edelia-Rebeis: " le scénario me paraissait un peu "déjà vu"...Mais cette fin! J'ai bien fait de continuer jusqu'au bout, c'était magnifique. La fin m'a surprise et choquée en même temps, même maintenant j'y...
LIVRE DE 2017 (13 ans) Saylor est une fille aux cheveux bleus. Bleus nuit. Bleus noir. Bleus de son passé où s'échappaient les nombreuses cigarettes qu'elle avait vues s'éteindre dans le ciel sans soleil où luisait ce bleu là. La fumée, son odeur, la douleur. Tout restait tapis dans l'obscurité de ce bleu ombré. Béatr...
Timothée n'aime pas les légumes. Il leur trouve trop de couleurs. Timothée n'aime pas les saisons. Il n'en voit pas l'intérêt. Timothée n'aime pas l'école. Il n'y fait que s'ennuyer. Timothée n'aime pas grand chose. Si ce n'est dessiner des planètes. Pour partir à la découverte de ses envies, d...
Dans mon cours d'allemand, il y a une fille qui s'appelle Jeanne. Elle est toujours joyeuse, sauf cette semaine. Collection Arc-en-ciel #4 (18.03.2017) Un grand merci à @souriresoleil pour la belle couverture!
Abréaction [abʀeaksjɔ ̃] n. f. PSYCH. Brusque libération émotionnelle. "Tu sais, je l'ai observée, longtemps. Et tout ce que je peux affirmer d'elle n'est que néant Parce qu'elle fait partie de ces gens Que la vie n'atteint jamais vraiment." #FreeYourBody
elle avait ces éclats de rire dans les yeux, et ces larmes dans le sourire © mourire | juillet 2017
Il était extraverti. Elle était timide. Il était impulsif. Elle était précise. Il aimait dessiner. Elle aimait lire. Il était insolent. Elle était douce. Il était passionné. Elle était poétique. Il était Mathis, elle était Thaïs. Ils étaient tous deux un peu perdus. Et une nuit, ils se rencontrèrent. Et un matin, ils...
Parce qu'on le perd, un peu plus chaque jour. Et parce que ça nous détruit de le voir dans cet état. Reviens-nous.