Enora, un certificat de naissance parmi d'autres, un souffle qui aspirait l'oxygène de la Terre comme des milliards de hôtes. Tu trouveras dans ta boîte mail un poème et chaque semaine, tu devras me répondre. Tu ne cherchais pas à savoir qui j'étais mais à rectifier mes tissus de mensonges. Comment savoir la vérité ? Quand toi-même, tu te cachais derrière tes croyances infondées. Une remise en questions, quand ton âme ne demandait qu'à vivre à fond. Mais qui osait te sonder ? Tu avais la réponse sous le nez.