AoiNoHimawari
// L’Empire des Lumières en librairie ! //
Bonjour à toustes !
Ça fait très longtemps que je ne suis pas passée par ici mais si je vous écris, c’est bien pour faire une annonce de taille.
Il y a quelques mois, j'ai été contactée par une maison d’édition pour réécrire L’Empire des Lumières et publier cette histoire bien comme il faut.
Ça fait donc maintenant plusieurs mois que je retravaille d’arrache-pieds ce texte pour en faire la version la plus aboutie, et la plus proche possible de ce que j’avais imaginé quand j’étais moi-même une adolescente un peu zinzin (bien que carrément moins tête brûlée que mes personnages).
Bref, après plusieurs mois de dur labeur, je suis super heureuse de vous annoncer que L’Empire des Lumières a été rebaptisée La Lumière entre nous et sera publiée aux éditions des Livres du dragon d'or.
À découvrir en librairie dès le 10 octobre 2024 !
Si vous voulez suivre les actualités du roman, sachez que je viens de créer un compte instagram tout chaud tout neuf pour relater mes activités d’autrice (j’en reviens toujours pas). Ça se passe donc sur le compte @blancheseigneur.autrice (je vous ajoute même un petit lien soyons fous : https://www.instagram.com/blancheseigneur.autrice?utm_source=ig_web_button_share_sheet&igsh=ZDNlZDc0MzIxNw==) alors venez, ce sera fun !
Merci à toutes les personnes qui ont lu et aimé cette histoire. Si cette folie arrive, c’est en grande (grande) partie grâce à vous !
À bientôt <3
Aoi
girls-meets-evil
Tes livres c’est les nuits d’été, le goudron qui claque et des mots lancés en l’air par des ados un peu perdus, des mots jetés dans le vide de la nuit face au lumières de la ville, c’est du Radiohead pour avoir un peu mois froid, c’est le son de la voiture quand elle est seule sur l’autoroute, les sièges en cuire, c’est les baisers fragiles, et la tendresse. Surtout la tendresse. C’est l’envie de pleurer, comme un nostalgie dont on ne sait pas d’où elle vient. C’est des mots jolis écris au feutre multicolore sur un corps multidouleur. C’est la poésie réincarnée en oiseaux violets. C’est des mots délivrés entre un père et un fils. Comme une beauté chuchotée et timide, fragile et novice. C’est un corps malade, malade de la maladie dont je souffrais quand j’ai lu Âmes poétesses pour la première fois.
Tes livres c’est une fuite dans un monde qui ne comprends pas les enfants tristes. C’est deux silhouettes qui courent dans les égouts après un soleil inconnu, c’est la Ville avec ses néons bleus et ses hommes dépressifs, c’est le noir noir noir noir, et la désagréable sensation d’un plafond étouffant qui te fais baisser la tête. Mais c’est l’espoir d’une couleur et de fleurs couleurs chaire, d’un soleil levant et d’une rivière. C’est l’espoir que le livre tant relu se finisse bien, c’est l’espoir d’en retrouver les pages volées. C’est des plantes qui jaillissent d’un cœur pas si fou. C’est l’amour et la connexion des corps. C’est l’espoir d’une éclipse à Minuit.
Tes livres c’est tout pour moi. Alors merci. Merci merci merci. J’espère que tu vas bien. Et la sortie de l’empire des lumières m’émeut toujours autant.
