Moi, écrire, c'est comme respirer... mais en pire. Genre, j'ai toujours l'impression d'avoir bu un fût de Red Bull mélangé à une encyclopédie. Et le café, parlons-en... disons que je sponsorise secrètement Starbucks.

Le fameux « je pose juste une idée dans ce chapitre » ?
Chez moi, ça se transforme en général en orgie  :
- un cataclysme émotionnel,
- un motard qui remet sa vie en question,
- deux personnages qui n'auraient jamais dû se retrouver dans le même lit,
- et un cliffhanger qui donne envie à mes lecteurs de me kidnapper. Ou de me spammer d'insultes 
(Je les comprends. Je ferais pareil.)
(affectueuses, bien sûr). 


Oui, j'avoue : je suis un peu sadique.
Juste un peu.
Enfin... ça dépend du chapitre. 😏

Je suis du genre à partir en sucette sans prévenir, j'agite mes personnages comme des maracas, je déclenche des drames lacrymaux à la chaîne juste pour voir les gens hurler dans les commentaires.
Je suis une tornade émotionnelle, un mélange explosif de douceur et de chaos organisé.

Après, je rafistole, je dézingue, je reconstruis. Bricoleuse de mots, mais avec un sérieux penchant pour le bordel organisé.

Mes récits ?
Un joyeux bordel où :
- le vrai et le faux dansent un tango toxique,
- l'obscur flirte avec la tendresse,
- l'humour décale la lame du couteau,
- les larmes et les rires se tiennent par la main.

Si vous osez me lire... prévoyez un gilet pare-balles, un casque, et peut-être un psychologue.
Je ne vends pas du rêve en guimauve. Je vends un aller simple pour l'aventure. Accrochez-vous ! 🔥