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Pour tout ceux qui avaient lu mourir par la bombe jusqu’au chapitre 20, je viens de publier la suite. 
          	
          	3 chapitres.
          	
          	Les autres sont prévus fin de la semaine. 
          	
          	Même si vous ne vous souvenez plus de l’intrigue, vous devriez reprendre vos repères facilement.
          	
          	La biz 

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Pour tout ceux qui avaient lu mourir par la bombe jusqu’au chapitre 20, je viens de publier la suite. 
          
          3 chapitres.
          
          Les autres sont prévus fin de la semaine. 
          
          Même si vous ne vous souvenez plus de l’intrigue, vous devriez reprendre vos repères facilement.
          
          La biz 

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[BESOIN D’AIDE] Y’a un truc dont j’aimerai vraiment pouvoir discuter pour progresser dans l’écriture :
          
          Quelqu’un a déjà connu une sorte d’obsession pour terminer son histoire ? Je pense qu’il faut faire preuve de beaucoup de lâcher-prise à un moment  
          
          Avant je me disais à chaque fois que je risquais de « perdre » mes personnages si je n’allais pas jusqu’au bout du livre.
          
          Aujourd’hui je sais qu’une histoire n’a jamais « de fin » en soi et que mes personnages feront partie de moi éternellement.
          
          Je crois que j’ai encore franchi une étape :)
          
          Anyway,
          
          Merci à tout le monde, et prenez soin de vous 
          
          
          

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Suite: 
          
          Pourquoi entretenons-nous des amitiés avec quelqu’un qui habite à l’autre bout de la France, de l’océan Atlantique, sur un autre continent ?
          
          Pourquoi le cœur des humains doit s’ouvrir à ce point pour trouver quelque chose de familier chez son ami africain, chez autrui ? 
          
          On est tous interconnectés. Ça l’était déjà avant, mais aujourd’hui ça prend une toute autre tournure.
          
          S’il vous plaît, dites-moi que ça a un but énorme, que l’humanité doit passer par là, que c’est ce qui caractérise notre époque.
          
          Tant de pétrole utilisé, tant de risques nucléaires& de catastrophes de cette même accablie, tant de dangers d’irradiation...
          
          Tant d’espaces sauvages & de forêts détruits pour l’industrie, pour de l’argent, pour ensevelir des déchets radioactifs... On est traversé par des milliers d’ondes chaque minutes.
          
          Tant que l’amour sera diffusé, il restera une chance. S’il vous plaît, utilisez les réseaux (sociaux) à bon escient et non pour déverser de la haine.
          
          Tant qu’il y aura de l’amour, tout ça aura une bonne raison, tout ça gardera un sens. Les ondes, il y en a toujours eu, mais l’homme était trop aveugle pour les voir, alors il a fait des recherches pour prouver, par la science, que ça existait. “Phénomène de propagation d’une perturbation”
          
          Alors envoyons de l’amour aux autres, à notre communauté, aux peuples du monde, s’il vous plaît. On a tous besoin de notre diversité. C’est beau, c’est humain. 
          
          Protégeons-les, protégeons-nous.

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Ce soir, un post un peu différent de d’habitude :)
          
          Je me suis longtemps demandé si travailler dans la conception de contenus textuels, sur les réseaux sociaux, sur le web, contribuer à faire grandir un peu plus l’arbre luxuriant de la toile n’était pas contraire à mon éthique : le respect du monde naturel, des animaux, des végétaux, toute les sortes de vie sur terre, pouvoir respirer l’air pur des plaines de chez moi, sauvegarder le maximum d’espaces & d’espèces sauvages.
          
          Parce qu’on utilise une quantité monstre d’électricité pour pouvoir faire vivre tout ça. 
          
          Mon dieu, qu’est ce qu’on est en train de créer, là-haut, dans les nuages, avec les satellites du ciel étoilé ?
          
          Une telle ouverture au monde, c’est fracassant.
          
          Alors je vous demande, avec tout ce que cette époque a à nous offrir, tout ça pour quoi ?
          
          Pourquoi doit-on ouvrir nos cœurs à ce point aux pays du monde, aux autres ?