Par soucis d'incohérence, j'ai du modifier un paragraphe dans le chapitre 5. J'ai oublier de vous parler d'une tapisserie, je vous met le paragraphe corrigé ici :
Mon bougre d’estomac ne me permet pas de profiter encore de cette douce sensation sans douleur. J’ai conscience que ce que je m’apprête à faire relève du suicide et de la stupidité, mais je vais aller voir d’où vient cette délicieuse odeur. J’ouvre le plus discrètement possible la porte de la chambre qui émet un léger grincement. Je tend l’oreille, à l'affut du moindre signe de vie. La corde de mon fabuleux piège traîne toujours sur sol, mais les feuilles ne la recouvrent plus. L’odeur semble venir d’en bas. Je ne me souviens pas avoir aperçu une quelconque cuisine depuis mon arrivé, je devrais donc me fier à mon odorat. Je sors alors sur la pointe des pieds et tombe nez à nez avec une tapisserie. Une grande fresque d’une scène bien connu de la tragédie de Roméo et Juliette. Elle est légèrement abimée, mais elle reflète toujours autant cet amour impossible et tragédie que deux âmes ont vécues. Je bloque quelques seconde devant cet œuvre. Elle est sublime, j’arrive à ressentir la douleur des deux amoureux. Un bruit de rongeur me ramène à la réalité. Je secoue la tête et me détourne de la tapisserie pour continuer mon chemin. Les escaliers râlent à chaque pas que je pose sur leur planche rongée par les bêtes, mais je sens que je me rapproche de l’odeur.