MHD9984

Je lui ai tendu le couteau quand elle était en face de moi, elle m'avait supplié des larmes aux yeux, j'ai crû à ses larmes de crocodile et puis j'avais jeté le couteau, du coup je l'ai serré dans mes bras. Mais quand je lui ai tourné le dos elle  m'avait donné un coup de couteau dans mon  dos, mon innocence me fait croire que j'étais piqué par une épine puisque je n'aurais jamais crû qu'elle aurait l'audace et le courage de me poignarder dans le dos jusqu'à à ce que je saigne, malgré le saignement je pensais que c'était des sueurs, puisque je n'ai pas l'ombre de doute qu'elle m'aurait poignardé, je lui ai accordé toute ma confiance, à ce temps j'avais porté une chemise blanche comme neige il a fallu que je me déshabille pour constater de mes propres yeux. nonobstant que  j'ai vu de mes yeux, je pensais que je rêvais et à un instant j'ai encore constaté que je ne rêvais pas , je voulu me retourner mais j'ai bien peur de voir le visage de celle qui m'a poignardé, je ne crains en aucun cas son visage mais j'ai peur de connaître cette personne et  puis je me suis retourné pour voir le visage de celle qui m'avait poignardé devine qui c'était ? je n'ai pas crû que c'était elle. 
          	
          	Non non ! Je crois pas une seule seconde que c'est toi  qui tenait ce couteau dis-je. 
          	
          	Répliqua t-elle  en disant non ce n'est pas vrai en regardant couler le sang du couteau qu'elle tenait encore en main. 
          	
          	J'étais pétrifié face à cette réaction, ma tête tourne en rond je n'ai ni la force de parler ni la force de me tenir debout. Je me suis mis à genoux et puis j'étais allongé sur la terre. 
          	

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Je lui ai tendu le couteau quand elle était en face de moi, elle m'avait supplié des larmes aux yeux, j'ai crû à ses larmes de crocodile et puis j'avais jeté le couteau, du coup je l'ai serré dans mes bras. Mais quand je lui ai tourné le dos elle  m'avait donné un coup de couteau dans mon  dos, mon innocence me fait croire que j'étais piqué par une épine puisque je n'aurais jamais crû qu'elle aurait l'audace et le courage de me poignarder dans le dos jusqu'à à ce que je saigne, malgré le saignement je pensais que c'était des sueurs, puisque je n'ai pas l'ombre de doute qu'elle m'aurait poignardé, je lui ai accordé toute ma confiance, à ce temps j'avais porté une chemise blanche comme neige il a fallu que je me déshabille pour constater de mes propres yeux. nonobstant que  j'ai vu de mes yeux, je pensais que je rêvais et à un instant j'ai encore constaté que je ne rêvais pas , je voulu me retourner mais j'ai bien peur de voir le visage de celle qui m'a poignardé, je ne crains en aucun cas son visage mais j'ai peur de connaître cette personne et  puis je me suis retourné pour voir le visage de celle qui m'avait poignardé devine qui c'était ? je n'ai pas crû que c'était elle. 
          
          Non non ! Je crois pas une seule seconde que c'est toi  qui tenait ce couteau dis-je. 
          
          Répliqua t-elle  en disant non ce n'est pas vrai en regardant couler le sang du couteau qu'elle tenait encore en main. 
          
          J'étais pétrifié face à cette réaction, ma tête tourne en rond je n'ai ni la force de parler ni la force de me tenir debout. Je me suis mis à genoux et puis j'étais allongé sur la terre.