Le soleil se levait  à l'ouest 
Et au soir quand elle venait se mouvoir de toute sa passion
Face à cet être vide de sens,
Vide d'être !
Que vide, autour des bonnes âmes secrètes 
Qui donnent leur douces mains ou lumineuses ailes à sa main vide pour retourner enfin solonellement faire les hautes mers.
Alors belle contemplait souffle retenue,
La philharmonie des étoiles qui de tant à autre laisse échapper de douces sons perçus par le vent qui les couvre. avec le chant de l'océan, sentant l'avènement du poète malheureux, composent et confient leurs mélodies à cet être vulnérable au yeux des hommes.
Jamais vulnérable pour eux, aussi avenante qu'un prophète né au siècle dernier et à qui ils confieraient bien les mots destinés à dame belle nature, destinés aux misérables êtres du nouveau et du renouveau.
Brusque réminiscence!
Alors poète proscrit, Lanciné d'aussi belles vers que de douleurs à rapporter les sordides choses qui se chuchotent et meurent sans résolution emporté dans la nuit des temps, remonte les sentiers perdus pour ces futurs livres ouverts amochés par le non sens à la vie.
Un dernier regard à la vie et des Aurevoirs chargés d'espérances, poète s'en va sur sa jument efflanquée, étreindre la flamme qui brûle en enfer. 
L'enfer où les hommes précipitent l'iminnente chute de la peinture végétale.
L'enfer où les hommes tuent, cannibales, la douce lavande et la gui.
L'enfer où l'homme précédent le diable et agit à la manière de ce dernier.
L'enfer où les hommes sont toujours avides du sang. Le sang du prochain!
Sur son chemin, il dû chanter et son chant, hélas  inaudible et sourd n'ont trouvé que les oreilles d'un, deux et enfin trois pauvres valets.
L'un dira amour, l'autre dira le bougre et le dernier dira essence.
Alors poète mourut enfin!
Les trois fils marchèrent et suivirent la direction du vent. 
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