Orchidkid97

J'ai écrit beaucoup de débuts d'histoires, mais je n'ai jamais réussi à en finir une seule. Soit parce que je m'étais engluée dans un truc tellement compliqué que je ne voyais pas comment faire une fin satisfaisante et qui tienne la route, soit parce qu'après réflexion je trouvais le scénario totalement naze, soit parce que je n'avais tout simplement plus d'intérêt pour cette histoire.
          	
          	Mais là, l'histoire que j'ai commencée il y a un an me donne vraiment envie de continuer jusqu'au bout. C'est totalement le genre d'histoire que j'aime, et même si ce n'est pas quelque chose de comique et joyeux, je prends beaucoup de plaisir à l'écrire. Même si j'aime aussi écrire des histoires avec un ton plus léger, voire complètement décalé et à la limite de la connerie, je privilégie souvent l'horreur psychologique. Paradoxalement, écrire sur les désirs et les perversions les plus noirs des humains semble me purifier. C'est comme si je lavais un peu plus mon âme à chaque mot écrit (ou tapé, ça dépend).
          	
          	Bref, pour résumer, l'histoire décrit une obsession malsaine, et le niveau de toxicité et de malaise risque d'être assez élevé à partir d'un certain moment, donc je préfère prévenir.
          	La violence du récit est avant tout psychologique (psychiatrique ?). Quelques scènes comporteront de la violence physique, mais vraiment très peu, et ces dernières seront plus suggérées que détaillées.
          	
          	J'ai pas encore de titre définitif, si l'histoire vous plait et que vous avez des propositions, je suis preneuse :D D'ailleurs, si vous avez aussi des propositions pour le nom du personnage principal, je prends aussi. Je trouve le nom que j'ai choisi (Zacharie... lol) vraiment naze, mais on ne va pas mettre un prénom stylé à une ordure, si ? :')
          	
          	Si vous la lisez, je serai vraiment très contente :)
          	Si vous l'aimez, je le serai encore plus :D
          	Si vous ne la lisez pas ou que vous ne l'aimez pas, je ne vous blâmerai pas, car ça voudrait dire que vous êtes sain d'esprit 

Orchidkid97

J'ai écrit beaucoup de débuts d'histoires, mais je n'ai jamais réussi à en finir une seule. Soit parce que je m'étais engluée dans un truc tellement compliqué que je ne voyais pas comment faire une fin satisfaisante et qui tienne la route, soit parce qu'après réflexion je trouvais le scénario totalement naze, soit parce que je n'avais tout simplement plus d'intérêt pour cette histoire.
          
          Mais là, l'histoire que j'ai commencée il y a un an me donne vraiment envie de continuer jusqu'au bout. C'est totalement le genre d'histoire que j'aime, et même si ce n'est pas quelque chose de comique et joyeux, je prends beaucoup de plaisir à l'écrire. Même si j'aime aussi écrire des histoires avec un ton plus léger, voire complètement décalé et à la limite de la connerie, je privilégie souvent l'horreur psychologique. Paradoxalement, écrire sur les désirs et les perversions les plus noirs des humains semble me purifier. C'est comme si je lavais un peu plus mon âme à chaque mot écrit (ou tapé, ça dépend).
          
          Bref, pour résumer, l'histoire décrit une obsession malsaine, et le niveau de toxicité et de malaise risque d'être assez élevé à partir d'un certain moment, donc je préfère prévenir.
          La violence du récit est avant tout psychologique (psychiatrique ?). Quelques scènes comporteront de la violence physique, mais vraiment très peu, et ces dernières seront plus suggérées que détaillées.
          
          J'ai pas encore de titre définitif, si l'histoire vous plait et que vous avez des propositions, je suis preneuse :D D'ailleurs, si vous avez aussi des propositions pour le nom du personnage principal, je prends aussi. Je trouve le nom que j'ai choisi (Zacharie... lol) vraiment naze, mais on ne va pas mettre un prénom stylé à une ordure, si ? :')
          
          Si vous la lisez, je serai vraiment très contente :)
          Si vous l'aimez, je le serai encore plus :D
          Si vous ne la lisez pas ou que vous ne l'aimez pas, je ne vous blâmerai pas, car ça voudrait dire que vous êtes sain d'esprit