En 1948, le Pakistan né vide. Vider de son sang à cause de la guerre, sa joie des jours inconnu de mes parents, . Cet endroit construit de pierres et des braises des flammes de la guerre est décoré des cicatrices du temps. Je ne sais pas si je pourrais appeler ce nid de terre et de pierre, où nous avons élu domicile ma famille et moi depuis un bref temps, une maison.
De l’extérieur, tout est déprimant dans ses maisons typique du Pakistan. Les murs brutes, fades, aux façades tristes, les fenêtre toujours fermer qui ont alors comme seule couleur le bleu, les barreaux métalliques qui les protèges, l’intérieur
l’odeur de la nourriture de maman et de la pourriture sous nos pieds. On n’avait rien, ou presque. Seulement des détails à aimer. Les pétales des fleurs séchés dans un bocal, les tapis de prières, seul richesse de ce lieu,
Alors aujourd’hui j’ai nettoyer ma chambre, j’ai pris tout les futurs souvenirs de cet endroit, les pétales, les bout de tissus rose que ma soeur aimée coudre ensemble pour passer le temps, les sourires et les larmes, la peine et la haine, j’ai pris le coeur de chaque membre de ma famille et je leur ais laissé le mien.
J’ai embrassé maman sur le frond, elle a pleuré, j’ai pris mon père dans mes bras, il a soupirer toute la pression dans son ventre sur mon épaule, j’ai embrasser chacun de mes frères et soeur. Personne n’avait oser parler lors de cet échange, sauf la plus jeune qui me chuchotta entre deux hurlement du coeur,
Reste fort.
02/06/98