Merci à vous, qui prenez le temps de lire, de revenir, de vous attacher.
Chaque lecture, chaque présence silencieuse ou mot laissé me touche plus que je ne saurais le dire.
Ce chapitre poursuit le fil, doucement. Il parle de ce qu’on garde en soi, de ce qu’on n’ose pas toujours nommer.
J’espère qu’il vous plaira,
et qu’il résonnera quelque part, même en creux.
À très vite entre les pages.
— Virginie