_erindcp

Les rêves, ces éclats d’espoir dans un monde d’obscurité, nous poussent à avancer, mais ils ne sont que des mirages cruels. On nous enseigne depuis l'enfance qu'ils sont à portée de main, qu'ils sont la récompense de nos efforts acharnés, de notre détermination. Pourtant, au fur et à mesure que nous nous en approchons, ils s’éloignent toujours davantage, se dissipant comme une brume au lever du jour. Chaque pas vers eux semble en vérité nous en éloigner, comme si notre désir même les nourrissait de leur insaisissabilité.
          	
          	L’illusion de l’accomplissement est une farce. Nous croyons que, si nous nous accrochons assez fort, si nous supportons la douleur, le sacrifice, la solitude, nous atteindrons un jour cet idéal. Mais plus nous luttons, plus le rêve devient une prison, un fardeau. Chaque échec nous écrase un peu plus, chaque avancée semble être une marche vers un abîme, où la réalité, froide et implacable, nous attend. Le rêve ne meurt pas ; il persiste, comme une cicatrice qui refuse de guérir, nous rappelant constamment ce que nous ne serons jamais.
          	
          	Et peut-être est-ce là le véritable visage de la quête : une course sans fin, où l'on se consume, où l’on s’épuise, où l’on abandonne un peu de soi à chaque souffle. Car au bout du chemin, l’ombre du rêve est toujours là, nous narguant, nous défiant. Elle se rit de notre foi, de nos sacrifices, et nous laisse dans cette même obscurité, plus perdus qu’avant. L’espoir que l’on place en lui devient alors une condamnation, une spirale sans issue.
          	
          	Au fond, ce n’est pas la réalisation du rêve qui nous attend. C’est l’acceptation que l’on ne pourra jamais l’atteindre. Cette vérité brutale et amère, qui nous ronge lentement, est peut-être la seule réalité à laquelle on peut vraiment se raccrocher. Nous n'atteindrons jamais ce que l'on désire, et c'est ce manque, ce gouffre, qui finit par définir notre existence.
          	
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_erindcp

Les rêves, ces éclats d’espoir dans un monde d’obscurité, nous poussent à avancer, mais ils ne sont que des mirages cruels. On nous enseigne depuis l'enfance qu'ils sont à portée de main, qu'ils sont la récompense de nos efforts acharnés, de notre détermination. Pourtant, au fur et à mesure que nous nous en approchons, ils s’éloignent toujours davantage, se dissipant comme une brume au lever du jour. Chaque pas vers eux semble en vérité nous en éloigner, comme si notre désir même les nourrissait de leur insaisissabilité.
          
          L’illusion de l’accomplissement est une farce. Nous croyons que, si nous nous accrochons assez fort, si nous supportons la douleur, le sacrifice, la solitude, nous atteindrons un jour cet idéal. Mais plus nous luttons, plus le rêve devient une prison, un fardeau. Chaque échec nous écrase un peu plus, chaque avancée semble être une marche vers un abîme, où la réalité, froide et implacable, nous attend. Le rêve ne meurt pas ; il persiste, comme une cicatrice qui refuse de guérir, nous rappelant constamment ce que nous ne serons jamais.
          
          Et peut-être est-ce là le véritable visage de la quête : une course sans fin, où l'on se consume, où l’on s’épuise, où l’on abandonne un peu de soi à chaque souffle. Car au bout du chemin, l’ombre du rêve est toujours là, nous narguant, nous défiant. Elle se rit de notre foi, de nos sacrifices, et nous laisse dans cette même obscurité, plus perdus qu’avant. L’espoir que l’on place en lui devient alors une condamnation, une spirale sans issue.
          
          Au fond, ce n’est pas la réalisation du rêve qui nous attend. C’est l’acceptation que l’on ne pourra jamais l’atteindre. Cette vérité brutale et amère, qui nous ronge lentement, est peut-être la seule réalité à laquelle on peut vraiment se raccrocher. Nous n'atteindrons jamais ce que l'on désire, et c'est ce manque, ce gouffre, qui finit par définir notre existence.
          
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_erindcp

Les gars, je traverse une panne d’écriture vraiment affreuse. Je dois absolument terminer Queenie avant le 2 février, mais je n’arrive pas du tout à avancer, ça m’énerve. En plus, j’ai tellement envie d’écrire sur Topaze, mais je sais que si je m’y mets, je ne reviendrai pas sur Queenie avant un bon moment.
          
          En plus, le logiciel que j’utilisais pour les illustrations a limité la génération d’images à 15 par mois. Du coup, je vais être obligée de payer un abonnement si je veux continuer à en intégrer dans mes chapitres.
          
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          P.S.: j'ai demandé des encouragement a ChatGPT et il est vraiment nul xD

_erindcp

@MorganeSwan01 Merci ૮₍´。ᵔ ꈊ ᵔ。`₎ა
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MorganeSwan01

@ _erindcp  Je suis avec toi !!  surtout prend ton temps ne te presse pas 
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_erindcp

Vous pouvez me féliciter, j’ai écrit un chapitre xD. Ce n’est pas grand-chose, puisque c’est « que » 1000 mots, mais c’est déjà ça pour quelqu’un qui n’a pas d’inspiration.
            
            J’ai aussi pris un abonnement à Dall-E à contrecœur. J’ai fait les illustrations des chapitres où il n’y en avait pas. La différence est vraiment flagrante, ça fait un peu bizarre, mais bon...
            
            xE
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_erindcp

Petite question rapide :
          
          Est-ce qu'il y en a parmi vous qui lisent sur AO3 ? J'avoue n'avoir jamais lu ni écrit dessus, car je ne trouve pas l'interface particulièrement jolie ; elle fait assez vieillotte. Mais comme j'ai un peu fait le tour des fanfictions que je lis habituellement, je me suis dit que ce serait peut-être sympa d'y jeter un œil.
          
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_erindcp

@MorganeSwan01 Il me semble qu'il n'y a pas beaucoup de francophones dessus, donc il faut savoir ou vouloir lire en anglais ou dans une autre langue. Personnellement, je trouve que l'app n'est pas forcément belle et simple d'utilisation.
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MorganeSwan01

@ _erindcp  Honnêtement non, je savais même pas que cette appli existait avant que tu en parle 
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_erindcp

Est-ce que vous voulez une petite anecdotes sur Topaze? Si oui continuer, si non bas passer votre chemin <(°^°)>
          
          Est-ce que vous arrivez à deviné ce que représente 2.4.1?
          
          
          
          Si non c'est complètement normal puisque en vérité ce ne vous concerne pas. C'est un moyen mnémotechnique pour moi de savoir de quel chapitre je parle. C'est beaucoup plus simple dans mes planification que de tout le temps tout écrire.
          2 = GOT saison 2
          4 = épisode 4
          1 = première partie du chapitre
          Ça vous permet d'un peu comprendre ce qui se passe dans ma tête ૮₍´。ᵔ ꈊ ᵔ。`₎ა
          
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