à nos câlins, à tes sourires et à nos rires, à nos clopes allumés le matin avant d'aller en cours (même si on galerait à chaque fois à les allumer à cause du vent), à tes compliments, à nos racontages de vie dès 7 heures du matin pour faire passer le temps, à nos vodka, à nos bonbons, à nos vappes, à ton parfum, à tes cadeaux, à nos churros et barbe-à-papas consommés pendant les fêtes foraines, à nos bleus à cause des autos, à nos promenades en skate jusqu'à tard le soir, à nos paysages vus à n'importe qu'elle heure sur ce banc solitaire, tu t'en souviens ? on se retrouvait toujours là-bas.
à notre amour bordel, tu me manques.